Premières retrouvailles avec les Jardins en ce début d’année.
Peu de couleurs, elles hibernent sous la terre, quelques feuilles de chêne qui n’en finissent pas de mourir et dont l’ocre joue encore avec le vert, le bleu, les ombres sombres du contre-jour.
Dans le nymphée et dans la source l’eau danse avec le bleu du ciel et l’or des pierres reflétés.
Peu de monde aussi : Le vent froid, les soldes, la télé...
Je ne m’attarde pas. Ah oui ! Revoir encore Les Amours d’Escoula, ce joli couple d’amoureux dans leur marbre tavelé, si fragiles, si vulnérables, qu’on voudrait protéger de…