Working girl

La nouvelle est tombée la semaine dernière, comme un lingot d'or sur ma tête. Depuis le mois de septembre je convoite un poste dans une agence de communication. J'ai été très patiente ("d'une patience légendaire" je dirai même). Et ça y est, tout ce travail, tout mes sacrifices ont payé. Cette semaine j'attaque mon vrai premier job. Je ne vais pas trop vous raconter ma vie. Mais un petit peu quand même. Je suis enchantée, fière mais surtout terrifiée. 
En fait, j'ai effectué que la première partie du travail. C'est bien de se vendre (c'est un peu le but de ma formation aussi...) mais après il faut : a-ssu-rer ! Et ça...C'est tout autre chose, ne pas décevoir ma boss, m'intégrer dans l'équipe, réussir à manipuler les grosses bebêtes (les ordinateurs), satisfaire la clientèle...Et me satisfaire moi-même surtout. 
Alors voilà, je ne vais pas prendre du xanax, mais je commence à me demander si on peut mourir d'une surdose de stress-bonheur ?

Le point positif et superficiel, c'est que je vais enfin donner un sens et une quelconque utilité à ce superbe sac emmaüs (coup de coeur jamais tellement porté).

Merci à Twiggy pour sa contribution.

Mon agenda Margaux Motin ne me servira pas qu'à noter l'anniversaire de tonton Georges et le début de mes menstruations.

Et surtout, je vais pouvoir griffonner ma collection (pire qu'une collection, c'est obsessionnel) de carnets en tout genre (celui en cuir, celui à fleurs, celui en papier recyclé, celui qui sent bon, celui qui est tout petit, celui qui se demande quand ce post s'arrêtera...). Mieux encore : j'ai maintenant une excellente raison de pouvoir en acheter de nouveaux, comme ceux de Bird on Wire par exemple.
Et puisque je vous ai raconté ma vie, ben j'aimerai que vous en fassiez autant ! Et vous, êtes-vous working or study girl ? Avez-vous des astuces jobs ?