Le premier ministre Hongrois, Viktor Orban, est ainsi venu au parlement européen pour essayer de faire passer la pilule de la nouvelle constitution hongroise entrée en vigueur dimanche dernier et qui fait de nombreuses vagues au sein de l’UE.
La plupart des commentateurs font l’analyse de ce texte comme un renforcement du pouvoir autoritaire pourtant déjà affirmé dans ce pays. Ils y voient un texte ne permettant que très difficilement l’alternance démocratique.