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Critiques Séries : Castle. Saison 4. Episode 13. An Embarrassment...

Publié le 24 janvier 2012 par Delromainzika @cabreakingnews

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Castle // Saison 4. Episode 13. An Embarrassment of Bitches.


Rien de mieux qu'un épisode de Castle dans le monde canin pour nous faire rire un bon moment. Je pense que c'est l'un des environnements les plus propices au rire et Castle s'en sort à merveille. Il faut aussi avouer que le pouvoir d'antodérision des personnages est assez élevé pour nous proposer du divertissement de qualité. D'ailleurs, plus je regarde la série, plus je trouve qu'elle gagne en qualité, en humour et en intensité. Cet épisode c'était celui qui laissait libre court à l'imagination des scénaristes. Un roi d'un concours canin est retrouvé mort, et forcément, à partir de là, une série d'évènement plus ou moins tragique pour les divers personnages de la série vont arrivés. Et par tragique, j'entends bien évidemment drôle. Car c'est clairement une force de rire dans cette série. C'est fait avec suffisamment de tact et d'élégance pour ne pas tomber dans les grossièreté. Castle est aussi là pour nous rappeler que la série est familiale et non pas une série violente qui enchaîne les "Fuck" comme on enchaînerait des perles. Pour accentuer les clichés (car on baigner dedans dès le premier toilettage d'introduction), on nous présente comme suspecte Kay Cappucio, un personnage de télé-réalité incarné par la superbe Hilarie Burton.
Cette dernière, alors qu'elle a fait ses armes dans l'horripilante One Tree Hill était sympathique jusqu'il y a encore l'an dernier dans White Collar (j'aurais d'ailleurs bien besoin qu'elle revienne si cela ne la dérange pas trop). L'actrice se donne à fond pour faire la cruche de service, celle à qui on va faire un plan caméra de pieds en fesses (que même Royal le chien ne peut oser résister). Castle joue donc dans le grand spectacle humoristique, accentuant tout ce qui peut l'être mais sans trop abuser des extras. Notamment ces ralentis, ces musiques pop, … tout est là pour jouer dans le cliché sans faire de mal non plus. Alors Kay est une personnalité qui va très vite réalisée qu'elle a une vie assez merdique en fait, et surtout que son ami argentin se sert d'elle et de son parfum (qui à l'air de pas sentir la rose d'après le regard de Justin Hartley - car oui, lui aussi est là dans cet épisode, là pour jouer un rôle accessoire qui est encore là pour accentuer le potentiel humoristique du programme et ce n'était pas refus. L'épisode enchaîne aussi avec Nana Visitor (merci les crédits).

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Cet épisode est donc clairement là pour nous faire délirer et cela va aussi passer par Castle et Beckett quand les deux vont se partager la garde du chien qui s'appelle Royal (imaginer bien la blague facile que l'on peut faire avec Royal Canin… je suis fort non ?). Cela donne des bons moments et surtout permet au téléspectateur de rire à gorge déployée. Sérieusement, il y a des scènes comme ça. Et justement, autre grand moment de l'épisode avec la psychologue pour chien qui va se rouler par terre face à un Castle stoïque qui ne comprend pas trop l'état mental de la pauvre psy. En tout cas, j'ai explosé de rire et imaginez un peu que j'en ai inondé mon écran de télévision avec mon thé. Bref, au final, Castle résiste à la tentation de l'épisode où il faut trop en faire et où l'esbroufe empêche de prendre son pied. Ici c'est tout le contraire, la série parvient une fois de plus à jouer avec tous ses personnages (Esposito également, et sa relation avec Kay quand il va se retrouvé tout émoustillé) et franchement, j'en veux encore plus des épisodes comme ça moi.
Note : 8/10. En bref, du divertissement de bonne facture pour un bon épisode de Castle qui sait ne pas se prendre au sérieux sans en faire des tonnes.


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