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Pourquoi se lancer dans l’entreprenariat

Par Maxim9

J’ai donne certaines raison dans l’introduction de ce journal, mais en plus de ces raisons, des questions et des réponses.

· Que serais-je une fois la soixantaine ou la septantaine atteinte?

· Que se passerait-il pour mes enfants une fois que je ne serais plus

· Que laisserai-je après mon départ de ce bas monde

Des questions sans doute existentielles, que tous se posent et dont les réponses ne sont pas nécessairement d’ordre matériel. Mais par contre une chose que j’ai bien appris : C’est vrai que l’argent ne fait pas le bonheur, mais du moins, il permet ou favorise son essor.

Ce n’est pas un débat sur le bien fonde de la richesse, même les ascètes ont besoin d’un minimum pour vivre. Et ce minimum ne s’obtient que par le travail. Or qui dit travail, entend résultat, peu importe lequel. Et parmi le résultat, la plupart de temps, la partie matérielle se transforme en argent.

Je disais que même les ascètes ont besoins d’un minimum pour vivre, c’est ainsi que certains mendient, d’autre travaillent au sein de communauté qui leur fournit pain et logis. En bref chacun définit la mesure de ce qu’il appelle richesse. Moi, la mesure de la richesse est la quantité de bien matériel, en plus de ceux spirituel, nécessaire à répondre aux trois questions dont les réponses quoi que simple, difficile a mettre en œuvre et imprévisibles.

Passe la soixantaine, j’aimerai juste me consacrer a des joies simples comme gâter, pourrir mes petit enfants. Les ensevelir sous une montagne de cadeaux et d’amours, leur donner tout ce que je n’ai pas eu. Et ce, très important, sans dépendre de leur parent (mes enfants) ou d’une quelconque charité.

Ce que je peux dire peut sembler incongru, mais ceux qui vivent dans mon pays ou dans les pays semblable au mien, le savent. Etre vieux dans un pays en voie de développent n’est pas une sinécure, c’est parfois même l’enfer. Et ca, je n’en veux pas, surtout pas pour ma femme et mes enfants.

Mon père était, paraît-il, avant ma naissance, un des plus grands commerçants du pays, un millionnaire a l’époque. Mais ce que je sais, est que, il a passe les vingt dernières années de sa vie dans des difficultés et les 2 dernières à dépendre totalement de son fils, qui lui, n’avait pas assez pour lui offrir tout le confort qu’il aurait aime offrir.

Mais, bon, les gens me disent, qu’il a de la chance, peut de père, peuvent se targuer d’avoir un fils comme moi. Ok, lui a eu cette chance, admettons, mais moi aurai je la même chance ? Personnellement je n’ai pas envi de jouer cela a pile ou face. Donc, je me prépare des maintenant. Peu importe le résultat, au moins, je n’ai pas laisse le hasard tous faire, même si je ne puis le contrôler.

Que j’ai demande à naitre ou pas, j’en sais rien, et il n’y a pas de preuves que je l’ai fait ou pas. Par contre je suis sur et j’ai des preuves, que j’ai voulu avoir mes enfants et je l’ai eu. J’ai rien à leur demander, mais tous à les donner, a commencer par une éducation et une instruction qui leur permettrai de s’en sortir dans la vie, de même que mes parent l’ont fait pour moi. Je me dois de leur donner le confort que j’ai rêvé pour moi-même quand j’avais leur âge, je me dois de les accompagner dans leur premiers pas dans la vie d’adulte tel que j’aurai aime que l’on fasse pour moi, je me dois de m’assurer une place au soleil pour eux, comme d’autre le font pour leur enfants. Et cela, des belles paroles ne suffisent pas. Il faut du cash, ou son équivalent. Ainsi, le jour que je ne serai plus la, le souvenir qu’ils garderont de leur père, sera une personne qui a balise le terrain pour eux et j’espère qu’ils feront de même pour leur enfants et petits enfants a leur tour.

Une fois déballe tous ces cris de cœurs et belle intentions, comment y arriver ? C’est simple, le travail et un peu de chance. Quoique pour cette dernière, il ne faut pas trop s’habituer à compter sur elle, elle est si imprévisible.

Ok, le travail, quel travail ? En étant employé, puis je y arriver ? Oui et non. Ca dépend de la rémunération, du train de vie, du plan d’épargne, du pays etc. et une chose que j’ai bien comprise, dans mon pays, les employés finissent toujours sans le sous. Par contre, ceux qui possèdent leur propres affaires, ceux la, oui. Et quand ils gèrent correctement, ils peuvent même passer le flambeau à leurs rejetons.

J’ai des tas d’exemples tant positives que négative sur ceux la. D’autre ont commence a partir de rien, d’autre ont été aides, mais tous aujourd’hui se préparent à passer le flambeau. Avaient-ils quelque chose de spécial ? Non, parfois même, moins d’instruction que j’en ai moi-même. Tous ont en commun, ils ont lutte et je suppose gagne, pour entreprendre leur propres business.

Aussi, pourquoi pas moi ? Si mon chemin est déjà trace, soit, mais je préférai encore essayer de le tracer moi-même.

J’aurai aime donner des raisons plus ronflants, plus techniques, avec des verbes bien ronds et de sonorité agréable, mais je n’ai que la réalité de la vie.


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