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IRM is back

Publié le 29 novembre 2011 par Sayane @hardsciences

Ah bah tiens, quand je vous disais que j’étais pressée de connaître les résultats issus de la masturbation de Kayt Sukel dans l’IRM du Professeur Barry Komisaruk (Université Rutgers, New jersey) ! Sur quoi je viens de tomber grâce à Maïa Mazaurette ? La vidéo nous montrant l’orgasme de la journaliste direct dans son cerveau. MAGIE DE L’INTERNET

Mais que voit-on sur cette vidéo ? Les zones du cerveau sont d’abord affichées en rouge, qui représente l’état « au repos » du sujet. On passe ensuite au jaune lorsque que la phase masturbatoire débute, pour finir sur une illumination blanche lors de l’orgasme.

L’étude approfondie des données n’a pas été effectuée bien sûr, mais le Professeur Komisaruk note l’activation de différentes zones cérébrales dans la vidéo : en premier les parties sensorielles génitales (normal, elle se tripote le berlingo et/ou s’asticote la cheminée), puis le système limbique, siège des émotions et de la mémoire (normal, l’asticotage ça laisse pas souvent frigide), pour finir avec la zone de plaisir du cerveau (j’ai besoin de préciser ?). J’attends donc toujours avec impatience les conclusions de cette étude, qui pourrait faire avancer l’état des connaissances actuelles sur l’anorgasmie (absence pathologique ou non, persistante et réitérée d’orgasme) ou juste la connaissance du plaisir féminin qui est juste très limitée pour le moment…à bon entendeur.

En tout cas, si l’envie subite vous prend de donner un coup de pouce (d’annulaire ?) à la recherche sur l’orgasme féminin, vous pouvez toujours passer acheter un joujou au buraliste d’Argelès-sur-Mer avant d’aller vous sacrifier au nom de la science dans l’IRM du prof Komisaruk.

sources: article du Figaro via Maïa Mazaurette et SecondSexe


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