There’s something that I’m watchingMeans a lot to meIt’s a broken banjo bobbingOn the dark infested sea
Don’t know how it got thereMaybe taken by the waveOff of someone’s shoulderOr out of someone’s grave[…]
Je ne sais d’où il vientPar la vague dérobéA l’épaule de quelqu’unOu, d’une tombe, arraché
Vers moi, il paraît venirOù que j’aille, son devoirN’est que de me faire souffrirLe mien est de savoir
Quelque chose que je regardeCapte mes penséesUn banjo brisé, ballotéEn mer de noir infestée
(Traduction – Adaptation : Polyphrène)
NDT: Je reste contrit de n'avoir su rendre correctement "dark infested sea", où Léonard Cohen joue sur la consonnance avec l'expression "shark infested sea" (mer infestée de requins) : "Dark", la ténêbre, la noirceur, la mélancolie (cf. "Darkness") est en effet aussi redoutable que les squales.