Magazine Société

« Exprimer ses opinions » = exprimer librement toutes les convictions religieuses sauf chrétiennes

Par Oratoirenotredamedefatima @nd_fatima

Retour sur un fait divers anti-chrétien d’outre-Atlantique…

Pendant une trentaine d’années la Poway High School, un lycée public en Californie, autorisait ses professeurs à décorer leurs classes d’affiches ou de bannières exprimant leurs sentiments patriotiques, religieux ou… antireligieux.

Ne comprenant pas la fausse-logique de « tolérance » mais en réalité pro-athéiste et profondément anti-chrétienne qui se cache derrière ce genre d’initiative, Bradley Johnson, un chrétien professeur dans l’établissement, a accroché vingt-cinq ans durant dans sa classe une bannière sur laquelle ont pouvait lire des phrases, véritable patrimoine des Etats-Unis telles les fameux « In God We Trust »« One Nation Under God » ou encore « God Bless America ».

Or, en 2007, l’administration du lycée mit un terme à cette autorisation et ordonna à Bradley Johnson de décrocher sa bannière au motif qu’elle violait la « clause d’établissement » du premier amendement de la Constitution américaine, qui interdit au Congrès l’établissement d’une religion nationale ou d’État, en promouvant « une conception judéo-chrétienne ». Le fondement même d’un des pays les plus puissants du monde doit être rangé et considéré comme une abstraction alors qu’il serait faux et même criminel d’affirmer que la religion n’est pas primordiale dans la vie d’un peuple, d’une nation, d’une civilisation. Bien évidemment, cette décision partiale ne visait que les affiches de M. Johnson puisque d’autres bannières ont été autorisées alors qu’elles faisaient clairement l’apologie du bouddhisme ou … de l’extrêmiste fanatique Malcolm X. Le « vivre-ensemble » souvent évoqué n’a en réalité pas d’autre but que de détruire le christianisme puisqu’on peut privilégier une confession ou donner en exemple à une jeunesse un personnage haineux que la désinformation actuelle présente comme un héros.

Un procès a par la suite été ouvert : en première instance, le 25 février 2010, le juge donna raison à Bradley Johnson, mais l’administration de l’enseignement public de district fit appel du jugement et obtint de cette juridiction l’annulation de l’arrêt du juge de première instance. Les avocats de Bradley Johnson ont porté l’affaire devant la Cour suprême des États-Unis…

via L’observatoire de la christianophobie


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Oratoirenotredamedefatima 162 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Dossier Paperblog