
Le service juridique de la municipalité a toutefois déroulé une argumentation assez primaire, transmise par note à Suzanne Pagé, toujours directrice du MAMVP : il y a bien eu dépôt mais cela ne signifie pas que le musée soit propriétaire des panneaux. Sachant pourtant que, « en matière de meuble, possession vaut titre », le raisonnement aurait pu être renversé. D’autant qu’aucun titre de propriété n’est exigé de la compagnie par la Ville de Paris, tutelle du musée qui fait alors preuve d’une rare mansuétude."
Bref, c'est plutôt le bras de fer contre le bras de terre ...
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