Selon Mme Marois, ceux qui ont du fric doivent payer leur «juste part». Peu importe s’ils paient déjà plus d’impôt que la grande majorité des contribuables.
Mme Marois a compris depuis longtemps que, de toute façon, les moutons rasés par le fisc ne sont pas les premiers à voter pour le PQ.--- Michel Hébert
(NDLR : Combien d'entre-eux iront payer leur juste part ailleur?)