L’éditorial RELATIO par Daniel RIOT
Ce n’est pas une « raclée », mais c’est un bon avertissement, sans frais pour l’instant. Rien ne dit que la poussée en faveur de la gauche se confirme au second tour. Il arrive souvent que dans des scrutins locaux les dynamiques du premier tour soit contrebalancées au deuxième tour. Alors pas de leçons trop rapidement tirées et trop superficielles. Mais il est sûr que dix mois à peine après sa large victoire à la présidentielle, Nicolas Sarkozy a essuyé un sérieux revers.