Ecrire pour être écouté : A l’inverse d’un article, le discours est fait d’un côté pour être prononcé, de l’autre pour être écouté. Cette réalité impose naturellement d’autres conventions et préparation. En amont, l’orateur doit s’affranchir de ses peurs, en aval, l’auditeur doit écouter, rire, s’émouvoir, retenir.
Ecrire de façon structurée : Même s’il est « parlé », le discours est surtout vécu. Il doit donc être structuré de façon précise. Il peut intégrer des détails, des anecdotes, des chiffres, des slogans mais doit « défiler ». En cela l’orateur emmène ses auditeurs d’un point à un autre. On conseille en général un structure de type : ouverture, introduction, messages, reprise des objectifs, conclusion. Naturellement, chaque discours est unique.
Ecrire pour discourir : Le choix des mots dépend naturellement des publics, occasions et objectifs. Chaque choix impose d’autres mots et styles. On songera en écrivant, à avoir un style plaisant et dynamique. Chacun a en tête des discours « sopo » qu’il ne souhaite ni revivre ni imposer à d’autres.
Prendre la parole en public : La prise de parole en public n’est pas forcément une chose facile. On s’efforcera de prendre cela au sérieux, sans se mettre de pression inutile. Décontracté, l’orateur regardera son audience dans les yeux, se servira de ses notes comme un point de repère et prendra le temps de respirer.
Un bon discours, c’est naturellement convaincre ! Un bon discours, c’est aussi naturellement vous !
Naturellement, il est possible de se faire aider. Là, le rédacteur se fait coach et peut vous accompagner pour poser les bons mots et impacter vos futurs auditoires.
À propos : Stéphane Bourhis a créé l’agence Red-Act en 2004 à Strasbourg. Celle-ci s’est spécialisée dans la création de contenus et leur intégration dans les stratégies de communication internet et sociales des entreprises, personnalités et collectivités [www.red-act.com ]