La solution américaine (mettre Opel et PSA en faillite, et les restructurer) n’étant pas possible, il faudra probablement du génie et de la chance. Chance d’un redémarrage économique européen. Et génie pour gagner en part de marché européen et aller chercher des clients sur des marchés solvables, et cela avec une capacité d’investissement quasi nulle.
Compléments :
- Par contre, je me suis trompé : GM ne souscrira qu’à un tiers de l’augmentation de capital de PSA (1md€ en tout). Qu’il obtienne 7% de la société pour cela indique donc qu’elle vaut moins de 3md, ce qui n’est vraiment pas beaucoup.