Jeu du gendarme et du voleur entre ceux qui dopent les sportifs et ceux qui veulent les en empêcher. (Can the scientists keep up?)
Plus la détection est efficace, plus le dopeur est créatif.
On parle maintenant de modifier le génome du champion, grâce à un virus, de
façon à lui faire générer naturellement de l’EPO. (Décidément le « biohacking »
réalise toutes mes prévisions.)
Cette course poursuite n’est-elle pas follement stimulante pour l’inventivité
humaine ? Par égard pour les pauvres types qui en font les frais, ne
serait-il pas temps de l’arrêter ?