L'affaire est grave car Cannelle était considéré comme la dernière ourse de souche pyrénéenne. Mis en examen le 7 décembre 2004 pour "destruction d'espèce protégée", le chasseur avait toujours affirmé n'avoir tiré qu'en dernier recours, après avoir cherché à éviter l'animal à plusieurs reprises. Un non-lieu avait alors été prononcé.
Depuis plusieurs associations écologistes ont fait appel. Parole postume de l'ours contre parole de chasseur, la cour d'appel de Pau leur avait donné raison ! Décidément , la peau et la parole d'un chasseur ne valent plus grande chose . Bientôt une dictature écologique ?Dicton du jour en cadeau : "Sauvez-un arbre, bouffez du castor !"
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