Magazine Société

Rigueur et crise : un temps pour Keynes ?

Publié le 24 mars 2012 par Christophefaurie
Un graphique de Paul Krugman montre que, par les temps qui courent, plus un État dépense plus sa croissance est forte. La rigueur est donc probablement une mauvaise politique. (Voir aussi : l’Irlande et l’Angleterre.)
Je me demande si le raisonnement qui a été tenu pour demander à la BCE d’imprimer des billets ne tient pas ici. La crise se traduit par un comportement irrationnel de l’entreprise qui se replie sur elle-même, ce faisant enfermant l’économie dans un cercle vicieux. Elle a donc besoin d’un mécanisme de « dernier ressort » qui ramène l’économie à un point d’équilibre rationnel, en la stimulant artificiellement.
Compléments :
  • Je me demande aussi si le vice de l’État français n’est pas de faire comme le bonus des banquiers : croître sans fin. Pourquoi ne réduirait-il pas sa taille en période faste ? Deux pistes à explorer : éviter les gestes princiers ; transformer la structure d’armée mexicaine de l’administration en spécialisant ses membres plutôt qu’en en faisant des petits chefs.
  • Lien entre déficit et crise.

Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Christophefaurie 1652 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Dossier Paperblog

Magazine