Toujours pas de téléphone, donc pas d’ADSL.
Je suis donc encore et toujours contraint au service minimum car je ne dispose pas de moyens suffisants ni de temps pour m’informer correctement et à satiété de tout ce qui se passe de l’autre côté de l’eau, en politique belge et française notamment. Je ne peux tout de même pas passer ma journée au bistrot pour lire les journaux en ligne.
Il y a pire, bien sûr.