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Il quitte l’école tôt et se confie

Publié le 27 mars 2012 par Kimauclair

J’ai lu récemment l’article de Why I decided to skip college, and how I’ve fared de Josh Lewis, un jeune de 18 ans. Il raconte dans son billet qu’il a décidé d’arrêter ses études à la fin de son secondaire. Malgré que plusieurs personnes de son entourage lui ont conseillé de poursuivre ses études, il affirme aujourd’hui qu’il est heureux et qu’il assume très bien son choix. Il ajoute qu’il travaille très fort et dur et qu’il n’est pas paresseux du tout. Aussi, il dit qu’il consulte et demande des conseils régulièrement afin de prendre les bonnes décisions qui auront un impact sur son avenir. J’ai été touchée par son témoignage. Je l’ai trouvé très motivant. Même si j’ai terminé mes études collégiales, je me suis quand même un peu reconnue dans son billet, J’ai pensé vous le partager.Voici ce que j’en retiens.

L’école ne représente pas la réalité du travail

J’ai démarré ma première entreprise à la fin de mes études secondaires. J’ai réalisé rapidement pendant mes études collégiales en graphisme que l’école m’apportait pas d’expérience concrète du milieu du travail. J’ai quand même terminé mon DEC en graphisme. Déjà les cours dans ce domaine ne suivaient pas la tendance du moment. Il est essentiel, selon moi, qu’un étudiant puisse comprendre qu’il doit acquérir de la pratique durant ses études et pas nécessairement dans un contexte scolaire.

Faire des choix et les assumer 

Josh Lewis mentionne dans son article qu’il a mis de côté sa vie sociale pour se concentrer sur sa carrière et sa passion. Je le trouve courageux à 18 ans seulement d’assumer ce choix. Sans vraiment m’en rendre compte, j’ai fait le même choix à 18 ans. Déjà très jeune, j’accumulais plus de succès dans ma vie professionnelle que personnelle, alors j’ai poursuivi mon chemin de vie  de cette manière. Par contre, contrairement à lui, j’ai pris plusieurs années avant de l’assumer.

Pour certains, ne pas aller à l’école est synonyme d’accomplir leur rêve sans perdre de temps

Je connaîs plusieurs autodidactes dans mon entourage personnelle. Ils s’agit majoritairement d’artistes vivant de leur passion pour la musique. Ils sont toujours en mode création et les moments qu’ils ont à ne rien faire sont rares. Le billet de Josh Lewis se rapproche d’eux. Il rappelle, entre autres, que ceux qui choisissent de mettre de côté leur université pour s’investir dans leur passion ne sont pas pour autant des individus qui végètent dans la société.

La passion est l’élément clé


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