Magazine Humeur

Je vois en la France

Par Basicinstinct82

Du haut du patelin de l’écume vitale et tout à la décrue du lambeau de la luxure d’un pavillon antérieurement misé (pavillon), pour opérer en douceur le nivellement des valeurs, et rehausser la rivée, sur la stratification socialement traditionnelle des rejetons de Marianne, J d’Arc et autres émules de l’égérie templière franchisée, qui érigent avons-nous appris, su, vécu, trop mal la barrière sociale, je me refais une interrogation surdimensionnée sur une facette de mon univers inconnu de mes alliés, tout aussi illustrée, dissimulée, amalgamée, voir transcendante, puis qu’elle émane du génie de ceux qui se sont assignés la fable de la recrudescence de la collision par leur manifeste pour la destruction en tous genres, au nom de l’indu et qui s’initie (interrogation) à tout va à la liturgie des rapports humains duments scellés pour entériner les rapprochements et calmer les douleurs enfantées par une remontée soudaine, de l’arbre des abstractions à la logique habituelle qui oppose deux tenants de panels sociaux distincts , deux extrémités de la même nation, en passe de s’emboîter à force de percées emblématiques, élitistes, intellectuelles, inventives, créatives, opérées de la base de la pyramide sociale, en direction de son sommet pour infléchir en douceur, et redorer le blason d’un ordre institué à coups, de concepts racistes, scientifiquement infondés, aidée d’une barbarie sélective et entretenu en fonction de la modulation des humeurs, de l’accord immixé des relents et ardeurs, même pas célestes, en tout cas, s’il nous était toujours donné en tant qu’humain de décrypter les astres, et telles que l’imbrication assez poussée et progresive des races et des cultures, nous priverait l’usage d’une quelconque forme de négations des réalités, que la vie nous impose au demeurant, au quotidien…

En cela, je me revois sans cesse revenir sur les sentiers de la contestation bâtie, en forme d’élongation, à l’aide de cet axiome, apparemment naïf, mais tellement fondamental, qu’il détruffe les substrats de la donne logique, à deux versants qui transcendent mon être, le font fluctuer, le rend subtilement glauque, avant de le présenter, sur un plateau, prêt à être dévoré par les rapaces de tous bords, de toutes obédiences, et munis d’une quelconque prétention démoniaque, à savoir, en quoi, pourrait-on me persuader d’être l’élu, si ce n’est l’idylle parcimoniaque de tous les autels et en être l’expression monstrueuse et fatidique, puis qu’il m’est, une énième fois, donné le génie, incarné par la plume, de tabler, à lever, du coin du voile, l’obscure, retentissante et inévoquable question qui taraude autant les esprits que le mien, sur l’orchestration, faite d’événements partis d’infantiles notes de banalité, entrevue, sans état d’âme, du moins, l’affable ignorance de savoir concevoir de fabuleuses et grandes choses, dans de petites, car la vie, a finie par nous apprendre de tas d’expériences du vécu, qui font juguler, les précipices supposés du destin.

Eh oui, l’imaginaire collectif peut s’orner par déduction logique et j’aurai même fini par consentir, picto charentais, en toute indépendance d’esprit, en toute liberté de mouvement, nonobstant la claque des jours de gloires sommairement perdus, sur la rampe du désaveu, face à l’incompris, mais jamais, pour autant qu’il faille, revivre le renoncement à se reprofiler, dans la redistribution des cartes de l’échiquier et bien que conscient de pouvoir tirer sur cette ficelle, pour rendre toujours meilleur, non m’y assujettir forcement, le rapport qui magnifia tant l’éblouissante tentation à la similitude des valeurs, que la cure de jouvence, prisée parce que voulue à temps, et à point nommé, des idées. Au fort temps des mépris, on aura appris à se projeter dans le futur, en nous rendant, complaint à la gratitude, à la reconnaissance et à une dose certaine et sans doute imperméables à l’hérésie, à l’amnésie, même si à l’opposé, las d’entendre suffoquer la raison sous le poids érodant de l’instinct de survie, développé juste pour faire face, aux reflux de sa popre fin de vie, les gens s’obstinent à nous conférer, des valeurs, aptitudes et qualités, qualifiables à mon sens, de péjoratives, tant que je ne m’y reconnais et y voit la litanie du détronage, je fais trémousser, les faisceaux lumineux de ma propension, quasiment revue à la hausse, de maintenir mon cap revendicatif, afin que d’un support que j’estime, sans commune mesure, je me refasse planer à l’ombre du doute.

Eh oui, aussi pétri que galvanisé d’aléas en tous genres, j’esquisse mon mea-culpa, à la croisée de plusieurs détours, pour ainsi continuer à exister au-delà de l’enclos des efféminés, refaire mon pourtour de la voûte des promus à l’excellence en tous genres.

En cela, je vois en la France autre que celle rêvée, l’abstraction aux valeurs les plus coutumières, alors, au nom du mien, qu’on me laisse me faire et parfaire, tant que j’y parviens sans contrainte, instituée…



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