Ouaip... Un peu d'opéra... D'accord, l'air est connu, extrait de compilations du type "Le Classique pour ceux qui n'aiment pas le Classique", mais il s'apprécie à donf', comme un bon Metallica... La Traviata, c'est facile, léger mais avec message social, et ça fait pleurer Julia Roberts dans Pretty Woman. Je ne ferai pas le coup de la lecture marxiste, déjà que j'ai celle de Hunger Games vs Guy Debord à écrire. Mais Verdi, quoi! Merdre! C'est dans l'acte 1, c'est encore primesautier. Après ça se gâte. Et l'agonie de Violetta est longue, mais démontre qu'on peut chanter à pleins poumons malgré la tuberculose... Encourageant, une belle leçon de vie, aussi structurante que la lecture de Zadig & Voltaire. Alfredo, fils de famille tombe sur la fille sur laquelle il ne fallait pas tomber. L'affaire tourne mal. La fin est tragique. tant pis pour le spoiler. A ma connaissance, Verdi n'a pas eu le temps de réaliser La Traviata II. Je compte personnellement sur Pascal Obispo ou Dov Attia pour s'y coller. Et s'ils n'ont pas eu l'idée... Oh Wait!
Enjoy!