Comme tout changement, il semble devoir avoir des conséquences imprévues. Les assureurs sont de très gros investisseurs, et Solvency II va leur demander de changer leur mode d’allocation de leurs investissements. Visiblement vers des placements sans risque et à court terme.
Ça pourrait être mauvais pour la bourse, mais bon pour les emprunts de grandes entreprises. Mauvais aussi pour le financement privé de grands travaux d’intérêt général, mais probablement bon pour la dette d’État. Et attention au départ des compagnies d’assurance, vers les pays qui les aiment dangereuses…
Compléments :
- Origines du billet : From Brussels, with shove