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Google Play, nouvelle destination de divertissement numérique ?

Publié le 17 avril 2012 par Tendancescom

Google revient sur le devant de la scène en lançant Google play. La création d’une nouvelle plateforme qui va révolutionner le monde numérique ? Non. Google se contente d’agréger sous un nom unique, ses plateformes  de vente de contenu. Adieu Android market, Google music, google books et google vidéo : toutes ces applications se voient affubler du petit nom de « play ».Google Play, nouvelle destination de divertissement numérique ?
Avec Google Play fini les synchronisations d’appareils, les fils qui traînent partout… Google play est intégralement hébergé dans le « cloud » (tout est stocké en ligne, disponible d’ou que vous vous connectiez). On peut y héberger plus de 20.000 morceaux de musique gratuitement et acheter des millions de titres, télécharger plus de 450.000 applications ou jeux android, feuilleter la plus grande bibliothèque d’E-Books ou encore louer des milliers de films en HD.

Google s’emploie depuis des années à rester le concurrent direct du géant Apple et aujourd’hui, via le secteur de la « culture », de s’imposer face au fameux iTunes, tout en parasitant au passage Amazon. Google en profite pour consolider son image de groupe en mettant ses boutiques en ligne sous les projecteurs. Une expérience qui se veut plus harmonieuse et plus simple pour les utilisateurs.

Google Play, nouvelle destination de divertissement numérique ?
Cependant nous ne sommes pas dupes ! Google doit faire face à quelques soucis techniques, notamment le service de paiement en ligne Google Wallet. Ce système de paiement électronique compatible avec les terminaux Android est censé permettre d’avoir un compte virtuel chez Google permettant  de régler ses achats en ligne ou même chez certains commerçants.

Pour ce qui est de la vente des applications, elle se fait entre le client et le développeur de l’application. Chaque concepteur doit donc se plier aux règles fiscales de chaque zone où habite le client, casse-tête qui risque d’en décourager plus d’un, et qui poussera les développeurs à vendre des applications gratuites et donc moins élaborées. Bien évidemment ce petit malin Apple n’a pas ce problème puisqu’il sert d’intermédiaire et gère la transaction comme un grand.

Pour le moment l’intégralité de ses services est disponible uniquement outre-atlantique mais ne saurait tarder dans les mois à venir, patience…

By Camille Goulois & Doriane Taconné


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