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Critiques Séries : Castle. Saison 4. Episode 21. Headhunters.

Publié le 17 avril 2012 par Delromainzika @cabreakingnews

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Castle // Saison 4. Episode 21. Headhunters.


Forcément, le fanboy de Firefly que je suis est tout heureux, saute de joie de partout quand il voit qu'Adam Baldwin est en guest dans ce nouvel épisode, afin de retrouver son ancien pote de série : Nathan Fillon. Le duo est en plus excellent. Il incarne dans Castle le détective Ethan Slaughter, un personnage complètement barré, égocentrique et charismatique, qui ne fait jamais dans la demi mesure et nous amuse. C'était tellement fun cette apparition que l'on est là à se dire que l'on pourrait carrément faire un spin off cerné sur le personnage d'Ethan. Il a l'étoffe du héros d'une série, et puis il était tellement captivant. Ce personnage est sûrement le meilleur que la série est pu développé en termes de guest. Je sais que je ne vais pas tellement être objectif avec cet épisode, mais bon, il faut tout de même avouer son excellente. L'affaire de la semaine était également de bonne facture, avec un scénario qui laisse la part belle au fun et à l'esbroufe toujours bien employée. En gros, pour reprendre les mots d'Ethan, cet épisode était "Outstanding". Donc, l'affaire de la semaine c'est une histoire de meurtre entre gangs qu'Ethan tente de démêler.
Et le truc c'est qu'il n'a pas vraiment d'éthique policière. Il fait la brute épaisse, notamment lors des interrogatoires où il peut tirer des informations de n'importe qui, même d'un gosse. Le pauvre quand même. Mais justement, cela permet d'être encore plus dans l'exagération. Ce qui réussi à cet épisode c'est clairement le côté "trop" d'Ethan. Le personnage en fait des caisses, mais il nous amuse. C'est le but. Il ne faut pas prendre cet épisode de Castle au sérieux, ce n'est pas la peine. Les scènes en voiture pourraient presque faire écho à du Starsky & Hutch bien référencé, ou a également des répliques trouvées sur le fil. Le but est de nous faire rire et du coup, on est servi sur un plateau d'argent par des dialogues ciselés et efficace. On ne perd jamais de temps avec des détails, ce qui n'est pas le but non plus. Franchement, j'ai donc pris l'épisode comme il venait, avec des yeux pétillants de plaisir à l'idée de voir deux anciennes stars de Firefly se chamailler comme deux enfants (rien que la scène finale où Castle se fait secouer comme un pommier par Ethan c'était excellent). On ne peut pas ne pas aider, c'est impossible.

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Pendant ce temps, Beckett est donc en retrait, et elle est placée au même niveau que Ray et Esposito. Ils ne sont pas content que Castle passent du temps avec un autre détective. La partie psychologique de l'épisode on la doit à Beckett qui se rend compte qu'elle a mis un peu trop de temps à parler à Castle qu'elle avait entendu son "I love you". Je sens que l'on approche d'un aveux mais qui ne peut pas bien se terminer. Il faut encore repousser l'échéance de la formation de ce couple, car les fans n'attendent que ça. Quant à Alexis, elle est enfin acceptée à Stanford, et elle est toute contente et … on la félicite. Au final, ce nouvel épisode de Castle était excellent. Je n'ai rien à redire dessus, si ce n'est que j'ai pris encore plus mon pied que d'habitude. Déjà que j'adore la série en temps normal, imaginez là que c'est multiplié par cent. Mais si je reste objectif sur l'épisode, avec un regard autre que celui du fanboy d'Adam Baldwin (qui aura grogné comme dans Chuck une fois… imaginez encore une fois le malin plaisir que j'ai pris) et de Nathan Fillion, l'épisode était très bon avec un équilibre savant orchestré entre humour, action et une pointe d'émotion.
Note : 10/10. En bref, What else ? comme dirait George Clooney.


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