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Actualités de la physique (physics world com , week 15):on trouve des pépites dans la boue...! SUITE 3

Publié le 19 avril 2012 par 000111aaa

Vous pourriez vérifier , chers amis lecteurs  , sur les commentaires reçus sur l’article d hier  avec quelle virulence   on  peut se traiter ,en physique  ,tout autant qu’en politique …….mais je ne m’en émeut pas…I l est normal que mon correspondant ( JJ  Micalef) s’en prenne à ce qu’ il assimile à de  la » divagation  sur le contenu de l’espace »…..Car après tout  l’éther des physiciens , contrairement à ce qu’ en pensait  POINCARE/LORENTZ/EINSTEIN etc.  , n’est pas rangé dans le tiroir des problèmes définitivement expliqués …..Mais là où mon correspondant  s’échauffait assez vite, c’est dans la connivence qu’il supposait entre les trois  protagonistes de ce forum  , je le cite : « ……., tracer des schémas éclatants de vérité, poser des équations parfaitement vérifiables, bref faire sérieux, solide et professionnel, de sorte que ce travail fasse illusion auprès de ses pairs qui auront reconnu là un des leurs écrivant dans leur langage …. »…Or , j’ai fait ma petite enquête et si en effet MUHAMMAD ASGHAR est un professeur pakistanais formé à  OXFORD  et ayant travaillé  en France /Algérie etc  ,si JAREK DUDA   est un professeur d’université à  CRACOVIE  ,  le pauvre VLADIMIR TAMARI ,  notre auteur si décrié par JJM ,  est un malheureux physicien palestinien hérétique   , formé à  BEYROUTH /USA .UNIV   , exilé à Tokyo mais vivant   présentement de ses aquarelles !

Quoiqu’ il en soit  je vous résume en quelques traits  les figures de son mémoire  en vous traduisant le plus fidèlement possible le résumé de sa publication  sur  INTERNET (http://www.oocities.org/vtamari/beautifuluniverse.html): vous comprendrez ainsi mieux les figures fournies hier ….

« Une proposition visant à reconstruire la physique  à partir de simples  et physiquement réalistes principes premiers est décrite  en utilisant un modèle dénommé «  BEL UNIVERS ».

Un type unique de «blocs de construction» est proposé : c’est un nœud sphérique symétrique porteur de charge  et en rotation   avec un moment angulaire exprimé dans les unités de la constante de Planck (h).

  Ces nœuds tournants deviennent  magnétiques  et s'auto-assemblent en tant que réseau cubique régulier à faces centrées , pour former a la fois le vide, le rayonnement et la matière.  Les nœuds non tournant forment la matière noire. Un espace à trois dimensions et un temps  découlent  de ce   réseau et des interactions de nœuds. Une  répulsion mutuelle entre nœuds rend  compte de l'expansion de l'univers.

Un nœud  en rotation transfère son moment angulaire aux nœuds adjacents par rotation autour d’un axe orthogonal, créant ainsi un champ électromagnétique et une force de  déplacement vers l'avant. La vitesse de rotation du nœud  recevant cette force de déplacement , c’est sa «densité» qui détermine le c (v) , la vitesse variable à laquelle il reçoit le rayonnement. Dans un vide c (v )représente le maximum, tandis que c(0) est la vitesse de la lumière. Deux ou plusieurs nœuds adjacents, verrouillés ensemble par une «  tensorialité » due à l attractivité   et la répulsivité (+ -) des forces électrostatiques se  forment en tant que matière. Les nœuds aux alentours  orientent leurs axes pour former des champs magnétiques, gravitationnelles ou électrostatiques. Les  lois en inverse des carrés et E = mc²(0) dérivent alors de la géométrie obtenue.

Le mouvement de la matière est l’ auto-convolution de la structure de l'énergie présente dans le réseau. Ceci relie  la force newtonienne et la  masse a un transfert du moment entre les nœuds de type domino  , exprimé  en unités de h, où une collision provoque une contraction de la longueur de Heaviside d'un objet. Le  décalage Doppler dans les signaux utilisés par un observateur extérieur pour mesurer  un objet en mouvement provoque une contraction ultérieure dans la longueur estimée, similaire aux effets de la dilatation du temps. Les deux effets expliquer le résultat de la relativité restreinte en termes classiques.

En utilisant l'analogie hamiltonienne et l'idée d'un indice de réfraction de noeud n = c(o )/ c(v) la Relativité Générale se réduit à une dynamique de transport de l'énergie le long des lignes de flux   résultant de nœuds de spin différent. Une vitesse variable le long de lignes de flux courbés n ‘est donc qu’une accélération et par conséquent  une  gravité.  Une probabilité quantique  se déduit du champ électrique d'une onde dipolaire dans le réseau et pour laquelle la  relations d'incertitude d'Heisenberg émerge tout naturellement de la géométrie qui en résulte. Une inflation cosmologique, mais pas une singularité Big-Bang résulterait  elle de conditions initiales de nœuds se trouvant  dans leur proximité maximale les unes par rapport aux autres. L’ensemble du calcul discret nécessaire pour décrire les interactions de ce modèle est présenté. Certaines expériences sont proposées pour tester les différents aspects du modèle. »

Je ne vous en dis pas davantage : reportez-vous si cela  ne passe pas trop au-dessus de vos besoins intellectuels( !)  au mémoire  produit par TAMARI   sur INTERNET  et a toutes les figures que je ne vous ai pas présentées ….

Mon opinion personnelle est celle-ci : ce modèle de  LEGOS subquantiques  est interessant et ressemble par certains point au modèle Oscar déjà presenté ici....  Le modèle   réussit certes à expliquer les effets quantiques ou macroscopiques reconnus par tous mais cela ne suffit pas ….. Les prémisses initiales  n’ont aucun support expérimental présentable  et pourraient n’être que postulats et pure imagination ….

 A SUIVRE


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