Le photographe Olivier Coret a suivi Mélenchon depuis le début de sa campagne électorale. Les premières photos ont l'air familial et bonhomme d'un candidat à moins de 5% avec un appareil médiatique étique. Le charisme télévisuel d'un homme qui affiche pourtant une certaine morgue envers les journalistes, associé à un ras la bol d'une gouvernance bling bling et d'un candidat socialiste palôt, ont gonflé la voile. Mélenchon s'enfle, telle la grenouille, incarnant un courant Robespierriste affiché et utilisant des symboles forts : la place de la Bastille, les références à Victor Hugo. Le populisme de gauche s'est trouvé un visage face au cimetière des stériles éléphants socialistes.
Dans cette vidéo, on ressent la montée en puissance des meetings vers des grand messes "rock n roll" avec les harangues vociférantes d'une pop star adulée. Le but ?
Obtenir 17,89% des voix. Un score révolutionnaire !