Magazine Journal intime
Vous versez votre sang, je verse mes larmes, à des milliers de kilomètres, je vous aime. Vous me remplissez de dignité et d'espoir.La rue est à vous. Pas une brique de cette vieille société pourrie qui ne soit pas à vous à la suite de l'expropriation de votre avoir, de votre être, de votre faire, de vos droits, de vos espoirs, de votre justice. Allez ! Faites-en ce que vous voulez. © Éric McComber