Dès le premier tour, les candidats ont été obligés de s’engager pour sauver l’école primaire.
Entre le 1er mars et le 22 avril, ils ont reçu plus de 170 000 messages pour sauver l’école primaire. Ils n’ont pas été sollicités 500, ni même 1000 fois… mais 10 000 à 20 000 fois ! Grâce à votre mobilisation, ils SAVENT que l’école primaire est la priorité des priorités.
Nous sommes dans la dernière ligne droite! Et pourtant… A deux semaines du deuxième tour, ni Nicolas Sarkozy, ni François Hollande n’ont compris quoi que ce soit au sujet :
- 60 000 enseignants supplémentaires propose l’un…
- 2000 euros par enfant en difficulté en fin de CP renchérit l’autre…
Ils proposent les mêmes rengaines : “avec plus de moyens, on fera mieux“. Ce n’est pas VRAI. Des moyens supplémentaires, l’école en a eu, tous les ans depuis trente ans et cela n’a rien donné.
Le vrai problème, c’est ce que l’on enseigne aux enfants.
Vous aurez beau dédoubler les classes de CP, si vous ne changez pas les méthodes pour apprendre à lire, cela ne donnera rien. On le sait, on l’a déjà fait et cela a été un échec monumental. Le seul moyen de changer les résultats de nos enfants et de les faire réussir, c’est de leur enseigner les bonnes méthodes, celles qui ne les embrouillent pas, mais qui leur permettent de se construire en même temps qu’ils acquièrent des savoirs pour la vie.
Mais VOUS pouvez rendre les idées claires aux candidats !
Aujourd’hui, plus que jamais, votre ACTION est nécessaire: cliquez sur le lien ci-dessous pour écrire directement aux candidats !
www.sauvezlecoleprimaire.fr
Mobilisez votre entourage!
Plus ils recevront de messages et plus ils seront OBLIGÉS de s’engager pour sauver l’école primaire !
Au cours des cinq dernières années, plus d’un million d’élèves sont sortis du primaire sans savoir ni lire, ni écrire correctement. Et cela va continuer si personne ne fait rien. Veut-on continuer à compromettre l’avenir de nos enfants et en faire des chômeurs et des désespérés ? C’est le futur de notre pays tout entier qui est en jeu aujourd’hui.