Pour synthétiser la vitamine D : de l'activité physique au soleil (en été aux heures les moins chaudes de la journée).
J'ai beaucoup apprécié cet ouvrage sur le sujet "Du bon usage du soleil" Dr Downing co écrit avec Jean celle
résumé ici
Extrait de la révue mediscoop snaté du 24 avril 2012
« Les Français manquent de vitamine D »
Le Parisien, Le Figaro
Le Parisien constate que « les Français manquent de vitamine D, surtout en fin d’hiver et au début du printemps ».
Le journal indique que « ce déficit modéré mais fréquent, qui concerne plus d’un tiers (37,7%) des 18 à 74 ans, représente un facteur de risque de fragilité osseuse, notamment d’ostéoporose et de fractures », selon une étude publiée dans le dernier Bulletin épidémiologique hebdomadaire.
Le Parisien ajoute que « très peu de déficits sévères (4,8%) ont toutefois été décelés sur les 1 587 adultes dont la vitamine D a été mesurée ».
Le quotidien relève enfin que « les auteurs de l’étude ont remarqué, sans pouvoir l’expliquer, que les fumeurs accusaient un déficit plus important, tandis que les buveurs modérés de vin bénéficieraient d’un niveau plus élevé de vitamine D ».
Le Figaro retient pour sa part qu’« un Français sur deux est carencé ».
Le journal note ainsi que « les analyses effectuées par l’équipe dirigée par Michel Vernay, de l’INVS, sur un échantillon représentatif de 1 587 adultes âgés de 18 à 74 ans ne prenant pas de supplémentation en vitamine D, montrent que 42,5% de la population française adulte présente un déficit «modéré à sévère» (moins de 20 ng/ml) et 4,8% un «déficit sévère» (moins de 10 ng/ml) ».
« Il s’agit, dans le second cas, heureusement peu fréquent, de personnes «particulièrement vulnérables» vivant le plus souvent seules, ne partant jamais en vacances ou nées hors d’Europe », précise le quotidien.
Les auteurs de l’étude écrivent que « si le déficit modéré ne s’accompagne généralement pas de signes cliniques d’ostéomalacie, il pourrait cependant constituer un facteur de risque d’anomalies osseuses, d’ostéoporose et de certaines maladies chroniques comme les cancers (principalement ceux du sein, du côlon et de la prostate), les maladies cardio-vasculaires et dysimmunitaires ».
Le Figaro conclut que « pour remédier à ces carences, Michel Vernay et son équipe recommandent aux autorités sanitaires de publier des recommandations d’exposition au soleil selon la latitude et la saison afin de favoriser la production endogène de vitamine D sans augmenter le risque de survenue de cancers de la peau, à l’instar de ce qui se fait déjà en Australie ».