Le libéralisme..

GFDL picture of F.A. Hayek to replace fair use images that are used in some articles. Released by the Mises Institute. (Photo credit: Wikipedia)

D’entrée, je trouve un véritable terrain de convergence, avec Vladimir, sur certains points, contenus dans ce lien, qu’il s’est permis de lâcher sur la toile, dans le but, imaginons, de mieux illustrer, à travers une étude faite sous l’égide du FMI et dénommée,  newDatabase of financials reforms, son approche d’une question aussi fondamentale, que révélatrice des véritables points de divergence, sur l’interprétation supposée de l’évolution des différents systèmes économiques, corrélativement aux finances.  A cet effet, j’admets que Vladimir s’offusque de l’impertinence de cette étude, qu’il trouve pas suffisamment, orientée dans le sens, de la conception que lui s’en fait, ou tout au moins, selon l’approche combinée, je pourrai bien imaginer, des doctrines libérales innovantes, à celui de l’école de Vienne et de Hayek, dont il est un adépte convaincu.  Sur ce, je trouve qu’en relevant, les aspects incontenus de la libéralisation, la dérégulation et la déréglementation, puis qu’il souscrit d’emblée, à la thèse selon laquelle, libéralisation=réglementation, il s’en prend à l’étude en supposant, qu’elle ne disjoint nullement, les pays qui mettent en oeuvre le libéralisme, sans tenir compte des principes requis à ces yeux comme relevant de l’application effective de la doctrine libérale, de ceux qui s’y adonnent à coeur joie. D’ailleurs, en énumérant les mesures préconisées par l’étude, il en arrive au point où, il ressort les effets de l’interventionnisme entravant sur la libéralisation, à l’image des prêts subprimes, pour les emprunteurs peu solvables.  De là, à se rafraîchir, la mémoire, à l’aide des cycles évolutifs de l’humanité, notamment les différents systèmes économiques, on en arrive à la conclusion, selon laquelle, rares auront été les pays, qui ont souscrit d’emblée, au libéralisme, puisque la logique de l’évolution historique même, nous astreint à admettre les mutations économiques et politiques, selon leur seuil d’achèvement ou leur caractère inachevé, et de ce point de vue, on peut constater, l’existence par exemple, d’un système hybride en France, par conséquent, un mélange des genres, quand les USA, mélangent interventionnisme et libéralisme.  Partant de ce postulat, la conception que Vladimir se fait du libéralisme, sied, à l’extension qu’a connue, la doctrine, car il aura fallu, qu’elle s’applique, pour qu’on dénote ses limites et ses véritables visées.  Ainsi, il faut reconnaître en définitive, que le libéralisme, a toujours été réduit, au jeu de la libre concurrence et au principe d’autorégulation du marché, raison pour laquelle, on constate, une volonté de recadrage et de législation étendue, clairement exprimée dans les conclusions de l’étude, ce fait explique, largement et en boucle, les visées de l’étude….

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