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Santorin et moi (Chapitre 6 - La plage de sable noir de Périssa)

Publié le 03 mai 2012 par Ceciledequoide9
Santorin et moi (Chapitre 6 - La plage de sable noir de Périssa)Bonjour à celles et ceux qui rêvent de plages dorées au sable poudreux comme de la farine tamisée
Bonjour à celles et ceux qui préfèrent les galets
Bonjour aux zotres
Santorin et moi (Chapitre 6 - La plage de sable noir de Périssa) Cette photo cochonne a été réalisée sans trucage et aucun animal en peluche n'a été martyrisé ni blessé pendant la prise de vue.
Santorin et moi (Chapitre 6 - La plage de sable noir de Périssa)Même les moins cérébra-lement actifs/ves d'entre vous comprendront que "sable noir" n'est pas une expression en l'air et observeront que la finesse du dit sable varie en fonction des endroits.
Santorin et moi (Chapitre 6 - La plage de sable noir de Périssa) Des resto de plage à gogo presque déserts. C'est la période ou la crise ?
Santorin et moi (Chapitre 6 - La plage de sable noir de Périssa) Des sièges et des parasols aux couleurs pimpantes pour une poignée de touristes seulement.
Santorin et moi (Chapitre 6 - La plage de sable noir de Périssa) Des kms de plage sombre et quasi déserte !
Santorin et moi (Chapitre 6 - La plage de sable noir de Périssa) Mon ombre sur le sable devant une mer vide ! Ce n'est pas croyable !
Santorin et moi (Chapitre 6 - La plage de sable noir de Périssa) Amusant spectacle que de voir les asiatiques se faire prendre en photo. J'ai pu observer la scène souvent au cours de la journée car, curieusement (ou pas ?) il y a beaucoup de japonais(es) et de chinois(es) à Santorin. Elles posent comme des diva en poussant de petits cris aigus et en agitant les bras. C'est marrant mais c'est ridicule et tous les signes de nunuchitude m'énervent assez vite pour l'image de petit animal fragile qu'ils renvoient des femmes.
Santorin et moi (Chapitre 6 - La plage de sable noir de Périssa) Quand je dis qu'il n'y a personne dans l'eau, ce n'est pas tout à fait exact : j'ai oublié ce grimpeur plongeur que j'ai passé de longues minutes à observer tandis que lui passait de longues minutes à hésiter à sauter (à moins que ce ne soit lié au vent et à l'attente d'un moment sans rafales ?) et que ces potes passaient de longues minutes à l'attendre en silence sur la jetée.
Santorin et moi (Chapitre 6 - La plage de sable noir de Périssa) Il est resté perché plus d'1/2 heure avant de se décider et j'avais l'appareil rivé sur lui pendant tout ce temps mais, bien sûr, j'ai raté ZE moment du saut !
Quant à moi, je n'ai évidemment pas sauté et j'ai longtemps hésité à me baigner ou pas... mais pourquoi ? Ce sera l'objet d'un jeu idiot (le retour !).

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