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De la cosmologie socialiste, l'histoire d'un homme devenu président

Publié le 07 mai 2012 par Clesan

La France a aujourd'hui un nouveau président. Cet homme sorti du chapeau de la providence, aidé par une femme de chambre du Sofitel de New York, va désormais conduire le destin, durant cinq longues années, de la France. Il a été élu avec un score faible (51.62%) mais surtout deux millions de vote blancs, record historique probablement lié à l'autre score historique, du FN cette fois-ci, au premier tour (18%) et dont la représentante, Marine Lepen, sans donner de consigne de vote car elle ne se considère pas comme le Furher d'un parti à sa botte, a tout de même annoncé qu'elle voterait blanc.

Donc voici une élection même si elle réjouit au moins 90% des journalistes, et tout à fait limitée en termes de votants. 18 millions sur une population de plus de 60 millions, donc à peu près 30%. Donc 70% à contenter. Difficile à première vue, mais quand il faut jouer des chiffres, on peut reprendre l'argument d'un Chirac élu en 2002 avec plus de 80%, et qui a trainé les derniers mois son mandat comme un cheval mort.

Pourquoi ce blog? Disons que nous allons (vous et moi) conserver (et converser) pour dans 6 mois, 1 an, 5 ans, les inepties, les hérésies, et les constats d'échecs de notre fine équipe du 6 mai. Pensez vous que l'on peu décemment accepter une Aubry ministrable? Ayant vécu à Lille, je ne peux m'y résoudre. Et comme les meilleurs flèches viennent toujours de ses amis, disons qu"aujourd'hui, le premier jour de la fin du mandat de Hollande, cette pâte molle sans saveur pour reprendre Soral, lui rappellera les mots d'Aristote: "L'amitié est une forme d'égalité comparable à la justice".

Aubry, Soral, Fabius

Et tout commença avec une bande de potes!


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