Apparemment les fusions / acquisitions procèdent par vagues.
Il leur faut des circonstances favorables, notamment que les entreprises
baignent dans le cash (ce qui est actuellement le cas). Puis, tout démarre par
un choc. Et là, à partir du moment où une société en achète une autre, un
cercle vertueux s’engage qui fait que tout le monde à intérêt à acquérir le
voisin, ne serait-ce que parce que cela augmente le bonus du dirigeant de l’entreprise.
Contrairement à ce que dit la théorie économique récente
(mais conformément aux idées de Schumpeter), ce ne serait pas une mauvaise
nouvelle pour le consommateur. Par contre, on obtient des monstres qui ne
peuvent plus faire faillite sans mettre, au moins, leur économie nationale à
genoux. (Exemple récent de GM.)
Source: Free exchange:
Surf’s up | The Economist.
Devons nous nous attendre à des faillites en série,
accompagnées, cette fois-ci, de prises de contrôle par l’État ? Lien avec le billet précédent ?