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De l'eau, du liquide et le carnet de chèque...

Publié le 23 mai 2012 par Marigotine

 

     Et dire que les bulletins météo nous font la pluie et le beau temps à longueur de journée

   Et là...

 Silence radio sur un phénomène dévastateur aux conséquences catastrophiques!

   Mais comme l'explique si bien "Evelyne" on ne pouvait pas prévoir parce que c'était trop localisé!

   Ah bon? justement ne serait-ce pas plus "pointue" comme analyse lorsque cela est bien ciblée....

( il est vrai qu'à part les phénomènes cycloniques je n'y connait pas grand chose en météo!)

Après le déluge. Des précipitations record se sont abattues sur l'agglomération de Nancy, dans la nuit de lundi à mardi, laissant un paysage de désolation. Plus de 200 pompiers ont mené près de 800 interventions, procédant à des dizaines d'évacuations, principalement sur la partie est de l'agglomération dans les communes d'Essey-lès-Nancy et Saint-Max. Ce matin, ils ont retrouvé une personne âgée décédée à son domicile. Plusieurs milliers de foyers ont été privés d'électricité durant la nuit et certains l'étaient encore en fin de matinée. D'innombrables caves ont été submergées par les eaux et de nombreuses routes ont été endommagées «par des torrents de boue comme on n'en avait jamais vus», selon les habitants. A certains endroits, l'eau est montée jusqu'à 2 mètres, faisant dériver les voitures sur plusieurs centaines de mètres. «Il a plu en une heure ce qui tombe habituellement en un mois», a résumé le préfet Raphaël Bartolt.
Après le déluge. Des précipitations record se sont abattues sur l'agglomération de Nancy, dans la nuit de lundi à mardi, laissant un paysage de désolation. Plus de 200 pompiers ont mené près de 800 interventions, procédant à des dizaines d'évacuations, principalement sur la partie est de l'agglomération dans les communes d'Essey-lès-Nancy et Saint-Max. Ce matin, ils ont retrouvé une personne âgée décédée à son domicile. Plusieurs milliers de foyers ont été privés d'électricité durant la nuit et certains l'étaient encore en fin de matinée. D'innombrables caves ont été submergées par les eaux et de nombreuses routes ont été endommagées «par des torrents de boue comme on n'en avait jamais vus», selon les habitants. A certains endroits, l'eau est montée jusqu'à 2 mètres, faisant dériver les voitures sur plusieurs centaines de mètres. «Il a plu en une heure ce qui tombe habituellement en un mois», a résumé le préfet Raphaël Bartolt." />Après le déluge. Des précipitations record se sont abattues sur l'agglomération de Nancy, dans la nuit de lundi à mardi, laissant un paysage de désolation. Plus de 200 pompiers ont mené près de 800 interventions, procédant à des dizaines d'évacuations, principalement sur la partie est de l'agglomération dans les communes d'Essey-lès-Nancy et Saint-Max. Ce matin, ils ont retrouvé une personne âgée décédée à son domicile. Plusieurs milliers de foyers ont été privés d'électricité durant la nuit et certains l'étaient encore en fin de matinée. D'innombrables caves ont été submergées par les eaux et de nombreuses routes ont été endommagées «par des torrents de boue comme on n'en avait jamais vus», selon les habitants. A certains endroits, l'eau est montée jusqu'à 2 mètres, faisant dériver les voitures sur plusieurs centaines de mètres. «Il a plu en une heure ce qui tombe habituellement en un mois», a résumé le préfet Raphaël Bartolt." title="De l'eau, du liquide et le carnet de chèque..." />Après le déluge. Des précipitations record se sont abattues sur l'agglomération de Nancy, dans la nuit de lundi à mardi, laissant un paysage de désolation. Plus de 200 pompiers ont mené près de 800 interventions, procédant à des dizaines d'évacuations, principalement sur la partie est de l'agglomération dans les communes d'Essey-lès-Nancy et Saint-Max. Ce matin, ils ont retrouvé une personne âgée décédée à son domicile. Plusieurs milliers de foyers ont été privés d'électricité durant la nuit et certains l'étaient encore en fin de matinée. D'innombrables caves ont été submergées par les eaux et de nombreuses routes ont été endommagées «par des torrents de boue comme on n'en avait jamais vus», selon les habitants. A certains endroits, l'eau est montée jusqu'à 2 mètres, faisant dériver les voitures sur plusieurs centaines de mètres. «Il a plu en une heure ce qui tombe habituellement en un mois», a résumé le préfet Raphaël Bartolt." border="0" />   Des précipitations record se sont abattues sur l'agglomération de Nancy, dans la nuit de lundi à mardi, laissant un paysage de désolation. Plus de 200 pompiers ont mené près de 800 interventions, procédant à des dizaines d'évacuations, principalement sur la partie est de l'agglomération dans les communes d'Essey-lès-Nancy et Saint-Max. Ce matin, ils ont retrouvé une personne âgée décédée à son domicile. Plusieurs milliers de foyers ont été privés d'électricité durant la nuit et certains l'étaient encore en fin de matinée. D'innombrables caves ont été submergées par les eaux et de nombreuses routes ont été endommagées «par des torrents de boue comme on n'en avait jamais vus», selon les habitants. A certains endroits, l'eau est montée jusqu'à 2 mètres, faisant dériver les voitures sur plusieurs centaines de mètres. «Il a plu en une heure ce qui tombe habituellement en un mois», a résumé le préfet Raphaël Bartolt. Crédits photo : POL EMILE / SIPA/

     En plein sur les marches!

   Bein oui mais pauvres "stars" c'était trop localisé aussi....

Croisette noyée. C'est l'invitée surprise du festival de Cannes. Après une ouverture sous le soleil puis quelques averses ici ou là, le ciel très bas et menaçant de dimanche a rapidement déversé des trombes d'eau. Équipés de raclettes, des employés du Palais des Festivals se sont relayés sur les plus célèbres marches du monde pour évacuer les flaques. Adieux bains de soleil, déjeuners en terrasses et poses interminables devant les photographes avant la montée des marches. Le tapis rouge est détrempé, festivaliers et badauds se réfugient au chaud, grelotant de froid. Plusieurs fêtes ont été annulées, tout comme le feu d'artifice du 65e anniversaire, reporté à mardi soir «si la météo s'améliore». Organisé sous un chapiteau, le dîner officiel a été maintenu de justesse mais, un peu plus loin, le «dance floor» animé par Bob Sinclar ressemblait à un pédiluve. Le toit d'une salle de projection a été endommagé obligeant les organisateurs à annuler deux séances. Tout était rentré dans l'ordre lundi en milieu de journée.
Croisette noyée. C'est l'invitée surprise du festival de Cannes. Après une ouverture sous le soleil puis quelques averses ici ou là, le ciel très bas et menaçant de dimanche a rapidement déversé des trombes d'eau. Équipés de raclettes, des employés du Palais des Festivals se sont relayés sur les plus célèbres marches du monde pour évacuer les flaques. Adieux bains de soleil, déjeuners en terrasses et poses interminables devant les photographes avant la montée des marches. Le tapis rouge est détrempé, festivaliers et badauds se réfugient au chaud, grelotant de froid. Plusieurs fêtes ont été annulées, tout comme le feu d'artifice du 65e anniversaire, reporté à mardi soir «si la météo s'améliore». Organisé sous un chapiteau, le dîner officiel a été maintenu de justesse mais, un peu plus loin, le «dance floor» animé par Bob Sinclar ressemblait à un pédiluve. Le toit d'une salle de projection a été endommagé obligeant les organisateurs à annuler deux séances. Tout était rentré dans l'ordre lundi en milieu de journée." />Croisette noyée. C'est l'invitée surprise du festival de Cannes. Après une ouverture sous le soleil puis quelques averses ici ou là, le ciel très bas et menaçant de dimanche a rapidement déversé des trombes d'eau. Équipés de raclettes, des employés du Palais des Festivals se sont relayés sur les plus célèbres marches du monde pour évacuer les flaques. Adieux bains de soleil, déjeuners en terrasses et poses interminables devant les photographes avant la montée des marches. Le tapis rouge est détrempé, festivaliers et badauds se réfugient au chaud, grelotant de froid. Plusieurs fêtes ont été annulées, tout comme le feu d'artifice du 65e anniversaire, reporté à mardi soir «si la météo s'améliore». Organisé sous un chapiteau, le dîner officiel a été maintenu de justesse mais, un peu plus loin, le «dance floor» animé par Bob Sinclar ressemblait à un pédiluve. Le toit d'une salle de projection a été endommagé obligeant les organisateurs à annuler deux séances. Tout était rentré dans l'ordre lundi en milieu de journée." title="De l'eau, du liquide et le carnet de chèque..." />Croisette noyée. C'est l'invitée surprise du festival de Cannes. Après une ouverture sous le soleil puis quelques averses ici ou là, le ciel très bas et menaçant de dimanche a rapidement déversé des trombes d'eau. Équipés de raclettes, des employés du Palais des Festivals se sont relayés sur les plus célèbres marches du monde pour évacuer les flaques. Adieux bains de soleil, déjeuners en terrasses et poses interminables devant les photographes avant la montée des marches. Le tapis rouge est détrempé, festivaliers et badauds se réfugient au chaud, grelotant de froid. Plusieurs fêtes ont été annulées, tout comme le feu d'artifice du 65e anniversaire, reporté à mardi soir «si la météo s'améliore». Organisé sous un chapiteau, le dîner officiel a été maintenu de justesse mais, un peu plus loin, le «dance floor» animé par Bob Sinclar ressemblait à un pédiluve. Le toit d'une salle de projection a été endommagé obligeant les organisateurs à annuler deux séances. Tout était rentré dans l'ordre lundi en milieu de journée." border="0" />   C'est l'invitée surprise du festival de Cannes. Après une ouverture sous le soleil puis quelques averses ici ou là, le ciel très bas et menaçant de dimanche a rapidement déversé des trombes d'eau. Équipés de raclettes, des employés du Palais des Festivals se sont relayés sur les plus célèbres marches du monde pour évacuer les flaques. Adieux bains de soleil, déjeuners en terrasses et poses interminables devant les photographes avant la montée des marches. Le tapis rouge est détrempé, festivaliers et badauds se réfugient au chaud, grelotant de froid. Plusieurs fêtes ont été annulées, tout comme le feu d'artifice du 65e anniversaire, reporté à mardi soir «si la météo s'améliore». Organisé sous un chapiteau, le dîner officiel a été maintenu de justesse mais, un peu plus loin, le «dance floor» animé par Bob Sinclar ressemblait à un pédiluve. Le toit d'une salle de projection a été endommagé obligeant les organisateurs à annuler deux séances. Tout était rentré dans l'ordre lundi en milieu de journée. Crédits photo : ANNE-CHRISTINE POUJOULAT/AFP  Quand la désespérance devient un gouffre de soufrance!  C'était sans aucun doute pas l'heure...    et c'est tant mieux.
Raté. Une chute de 55 mètres, avec des rochers, des tourbillons et un torrent d'eau à l'arrivée: se jeter dans les chutes du Niagara est généralement mortel. Lundi, pourtant, un homme a survécu à cette plongée infernale alors qu'il tentait de se suicider. L'homme d'une quarantaine d'années a escaladé un mur de 7 mètres avant de se jeter délibérément dans le vide. Il a alors disparu dans les flots avant de refaire surface dans le bassin de la rivière à proximité d'une plate-forme d'observation. L'homme a été particulièrement chanceux. «Il a réussi à atteindre le rivage», a déclaré un secouriste, car «s'il avait été pris dans le courant principal, il aurait été emporté par la rivière» a-t-il ajouté. Secouru au moyen d'un câble aérien, il s'est blessé légèrement à la tête et sérieusement à la poitrine (des côtes cassées et un poumon plus sévèrement touché), mais ses jours ne sont pas en danger.
Raté. Une chute de 55 mètres, avec des rochers, des tourbillons et un torrent d'eau à l'arrivée: se jeter dans les chutes du Niagara est généralement mortel. Lundi, pourtant, un homme a survécu à cette plongée infernale alors qu'il tentait de se suicider. L'homme d'une quarantaine d'années a escaladé un mur de 7 mètres avant de se jeter délibérément dans le vide. Il a alors disparu dans les flots avant de refaire surface dans le bassin de la rivière à proximité d'une plate-forme d'observation. L'homme a été particulièrement chanceux. «Il a réussi à atteindre le rivage», a déclaré un secouriste, car «s'il avait été pris dans le courant principal, il aurait été emporté par la rivière» a-t-il ajouté. Secouru au moyen d'un câble aérien, il s'est blessé légèrement à la tête et sérieusement à la poitrine (des côtes cassées et un poumon plus sévèrement touché), mais ses jours ne sont pas en danger." />Raté. Une chute de 55 mètres, avec des rochers, des tourbillons et un torrent d'eau à l'arrivée: se jeter dans les chutes du Niagara est généralement mortel. Lundi, pourtant, un homme a survécu à cette plongée infernale alors qu'il tentait de se suicider. L'homme d'une quarantaine d'années a escaladé un mur de 7 mètres avant de se jeter délibérément dans le vide. Il a alors disparu dans les flots avant de refaire surface dans le bassin de la rivière à proximité d'une plate-forme d'observation. L'homme a été particulièrement chanceux. «Il a réussi à atteindre le rivage», a déclaré un secouriste, car «s'il avait été pris dans le courant principal, il aurait été emporté par la rivière» a-t-il ajouté. Secouru au moyen d'un câble aérien, il s'est blessé légèrement à la tête et sérieusement à la poitrine (des côtes cassées et un poumon plus sévèrement touché), mais ses jours ne sont pas en danger." title="De l'eau, du liquide et le carnet de chèque..." />Raté. Une chute de 55 mètres, avec des rochers, des tourbillons et un torrent d'eau à l'arrivée: se jeter dans les chutes du Niagara est généralement mortel. Lundi, pourtant, un homme a survécu à cette plongée infernale alors qu'il tentait de se suicider. L'homme d'une quarantaine d'années a escaladé un mur de 7 mètres avant de se jeter délibérément dans le vide. Il a alors disparu dans les flots avant de refaire surface dans le bassin de la rivière à proximité d'une plate-forme d'observation. L'homme a été particulièrement chanceux. «Il a réussi à atteindre le rivage», a déclaré un secouriste, car «s'il avait été pris dans le courant principal, il aurait été emporté par la rivière» a-t-il ajouté. Secouru au moyen d'un câble aérien, il s'est blessé légèrement à la tête et sérieusement à la poitrine (des côtes cassées et un poumon plus sévèrement touché), mais ses jours ne sont pas en danger." border="0" />  Une chute de 55 mètres, avec des rochers, des tourbillons et un torrent d'eau à l'arrivée: se jeter dans les chutes du Niagara est généralement mortel. Lundi, pourtant, un homme a survécu à cette plongée infernale alors qu'il tentait de se suicider. L'homme d'une quarantaine d'années a escaladé un mur de 7 mètres avant de se jeter délibérément dans le vide. Il a alors disparu dans les flots avant de refaire surface dans le bassin de la rivière à proximité d'une plate-forme d'observation. L'homme a été particulièrement chanceux. «Il a réussi à atteindre le rivage», a déclaré un secouriste, car «s'il avait été pris dans le courant principal, il aurait été emporté par la rivière» a-t-il ajouté. Secouru au moyen d'un câble aérien, il s'est blessé légèrement à la tête et sérieusement à la poitrine (des côtes cassées et un poumon plus sévèrement touché), mais ses jours ne sont pas en danger. Crédits photo : HANDOUT/Reuters

 

Il faut payer pour l’interviewer !

   Avec Brad Pitt sur la croisette il faut sortir le:

                "Cannet de chèques"

De l'eau, du liquide et le carnet de chèque...
© Lionel Hahn/Abaca Press

Brad Pitt était l’une des stars les plus attendues sur la croisette durant le festival. Et si l’acteur se prête volontiers au jeu des photographes, pour ce qui est d’une interview, en revanche, les choses sont un peu différentes. Des journalistes canadiens accrédités pour le festival ont en effet eu la désagréable surprise de recevoir une liste des tarifs dont ils devront s’acquitter s’ils veulent interviewer Brad Pitt et ses collègues.


Selon le site Spiegel.de, qui révèle cette histoire de « gros sous », il faut débourser 1 960 euros pour 20 minutes d’entretien avec l’acteur venu défendre le film Killing them softly. D’autres stars, comme Nicole Kidman, sont concernées, et les tarifs varient selon que l’on est journaliste pour la presse écrite, la télévision ou la radio ! La raison de cette facture ? Le coût d’un séjour à Cannes, car les déplacements en jet privé et les nuits dans les hôtels de luxe, sans compter bien sûr l’armada qui entoure une star, coûtent chers ! Les interviews de Brad Pitt que vous pourrez lire ou voir ces prochains jours seront donc certainement le résultat de l'intervention divine du Dieu carnet de chèques…

 


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