Le grand tintamarre québécois du ras le bol, du j'en ai marre, frappe de plein fouet les crapules libérales et leur
chef.
La triste réputation du manipulateur Charest en
prend pour son rhume aux yeux de toute la planète; il est cuit, dans une
casserole en plus. Il est brûlé, à l'étouffé, au four, au court-bouillon, au
BBQ!
Lui et son gouvernement n'ont plus l'autorité
morale pour gouverner.
Il ne reste plus qu'à transposer cela en votes
et ils prendront la sortie qu'ils méritent; dans la honte.
Il faut se souvenir du lendemain de la
démission de Line Beauchamp, les mots prononcés par Charest : assez, c'est
assez! Puis on a vu Raymond Bachand, le petit homme, faire une envolée crocodilienne en pleurant devant les
caméras le départ de sa collègue Beauchamp. Snif au carré!
Pour venger cette démission-surprise, ils ont
voté une loi scandaleuse et illégale; la merdique 78. Inapplicable, elle devait
éteindre le feu, elle a eu l'effet inverse. Elle a allumé un pétard, qui est
loin d'être mouillé!
Cette loi et sa volonté de ne pas négocier
avec les étudiants le frappent en plein visage; il vient de changer de
chef de cabinet. Il est allé chercher un ratoureux.
Je crois et j'espère finalement que le
mouvement étudiant, qui est devenu mouvement populaire aura raison de la mafiacratie
libérale; qu'elle éjectera cette bande de clowns-manipulateurs pour longtemps!
Lo x