Perso, cela commence à m'insupporter les Maliens venus du Mali qui se croient permis de s'essuyer les pieds sur nos lois, les droits des femmes qui vivent en France et nos valeurs plus généralement.
Il y a une chose que je ne comprends pas de la part des autorités françaises : on sait que 90% des Maliennes sont excisées. Cela signifie donc que 90% des Maliens qui escomptent trouver l'eldorado en France ont bien l'intention d'exciser leurs filles.
Il faudrait donc les recevoir quand ils font une demande d'immigration après un entretien liminaire ; il suffirait de les avertir : à la moindre exaction sur l'une de leurs enfants, c'est 20 à 30 ans de prison à la suite de quoi "dégage dans ton pays" et bien sûr, mise sous tutelle de la République des malheureuses qui doivent endurer ces pratiques épouvantables.
Qu'est-ce qu'on attend ?
Bon, dans la dernière affaire, c'étaient des Guinéens. Ç'aurait pu être aussi des Soudanais musulmans (à ma connaissance, les Soudanais chrétiens ne s'adonnent pas à ces pratiques barbares). Ou même des Égyptiens. 80% là-bas, paraît-il.
Pareil. Il s'agit d'adopter une attitude bien plus déterminée avec ces pays. On devrait d'ailleurs conditionner l'aide que leur ocrtoie notre pays aux résultats qu'ils obtiennent contre l'excision afin d'éradiquer cette pratique.
Il est bon de rappeler qu'en Égypte, ces salopards de Frères Musulmans tentent d'obtenir l'abrogation de la loi qui interdit l'excision et financent des bus qui font des tournées pour en assurer la promotion.
Tiens, en France, généralement, les exciseurs ou parents qui livrent leurs enfants à l'excision s'en tirent avec 15 ans avec sursis.
Dans l'affaire récente qui secoue la France, les parents sont des récidivistes. L'incroyable c'est qu'ils aient conservé la garde de leurs enfants.
Il y a 50 000 femmes excisées en France. Intolérable. Il faut une action déterminée, à la fois préventive et ultra-répressive. On va avoir l'occasion de vérifier ce que vaut Taubira et si ses discours de protection des femmes ne sont que du vent, comme je tends à le penser.