Tel que mentionné la semaine dernière, les employés avaient bel et bien été licenciés. Merci mon ami Anonymus! Nous vous apprenions en primeur que la start-up montréalaise (qui n’a jamais fait aucun bénéfice) avaient peine à rester debout. Les deux actionnaires de contrôle se chamaillent en public et LaPresse a révélé leur train de vie princier au frais des investisseurs. Ce matin, nous apprenons du Journal La Presse que les frères Verville laisseraient leur ring de boxe et ferait place à un fonds torontois et un dirigeant techno d’envergure. Plusieurs voient en Capazoo une technologie prometteuse mais… le temps passe. La bouée arrivera peut-être trop tard. Comme plusieurs de mes proches… Je commence à m’épuiser de Facebook. Je ne laisserais pas ce puissant réseau social pour un petit clone plein de gadgets. Je crois que la mode… va faire son temps… Comme autre chose.