Et les journalistes : pourquoi agitent-ils des gousses d’ail et des croix en argent quand j’apparais ? Pourtant ne viens-je pas leur dire que l’optimum économique est forcément humain ?
Après dix ans de réflexion j’en suis arrivé à penser au Vilain petit canard.
Le Vilain petit canard a été un des premiers disques de mon enfance. Curieusement, je n’en ai jamais entendu la fin. Les souffrances du canard m’étaient insupportables.
Je pense qu’il en est de même du Français. Il ne peut supporter qu’on lui parle d’entreprise. Et encore moins qu’on lui dise qu’elle peut
faire le bien. C'est culturel.
