Dans la nuit du 13 au 14 mai dernier, 32 personnes dont 6 enfants ont été massacrés.
Ces crimes sont attribués aux rebelles du FDLR, milice déjà impliquée dans le génocide de 1994. Le village où a eu lieu ce massacre se situe à trois kilomètres d’une base de la Monusco (mission de l’ONU en RDC) ce qui a entraîné dès le lendemain une manifestation d’habitants révoltés.
Le porte-parole de la mission a expliqué l’inaction des troupes onusiennes du fait que « le temps que l’information arrive, les FDLR avaient déjà commis leur forfait ».