Le soutien de Valérie Trierweiler à Falorni rime avec félonie. Mais quoi de plus normal pour pimenter la saga d’une grande famille qui voit la vie en rose ?
Par Monsieur Z.
Aïe aïe aïe ! La première dame fait son premier drame. À tous ceux qui croyaient que la normalité présidentielle garderait le côté lisse et presque inodore d’un chef d’État à teinture dosée, peu photogénique au point de ne mériter aucun (De)pardon, Valérie Trierweiler vient de prouver que la vraie normalité c’est celle de la vie conjugale moderne.
Il y a donc l’ex de François cachée dans le placard, quatre gosses à élever en partage au simple rang de marâtre, le compte-tours jalousie qui grimpe plus vite que le niveau d’ambition et le quotidien à cran au point de montrer les crocs et de voler dans les plumes du volatile avant même qu’il n’ait atteint le perchoir.
Le truc normal d’une famille recomposée quoi, reality-show politique en bonus attrape-couillons.
Revoyons la scène au ralenti, pour comprendre comment d’un tweet le monde politocard français en pleine course au trône continue à se ridiculiser, jusqu’à l’étranger, en sautant du drôle de manège à la scène de ménage.
Courage à Olivier Falorni qui n’a pas démérité, qui se bat aux côtés des rochelais depuis tant d’années dans un engagement désintéressé.
Appréciez les coups de dague à lame empoisonnée que seule une femme jalouse sait manier avec autant de dextérité :
- « n’a pas démérité » = allez hop, je t’entaille la bravitude
- « aux côtés des Rochelais depuis tant d’années » = allez zing, je te découpe la proximitude
- « dans un engagement désintéressé » = allez schrack, je t’écorche la probitude
Vous noterez comme le soutien de Valérie Trierweiler à Falorni rime avec félonie. Mais quoi de plus normal pour pimenter la saga d’une grande famille qui voit la vie en rose ?