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Force est de constater mon manque d'inspiration, ma lente disparition, et tout des trucs en -ion, des mots qui me manquent. Ma lente réaction, mon inhibition, peut-être, m'ont empêché de Twitter, de commenter et de partager récemment sur ce qui agite la toile, me contentant de billets à la con entre Barbie et autres facéties. Multithématique, ce blog est. Il parle de musique, de séries, de mon monde et de bien des conneries. Parfois même de politique, avec la naïveté qui m'oblige.
Et résultat: il ne touche que la sphère des privilégiés qui me lisent, sans réussir à exploser et toucher d'autres andouilles venus lire mes imbécilités.
Ça relance presque la question de savoir s'il n'est pas préférable de spécialiser son blog. Pour faire partie d'un groupe, d'un autre, et de faire la transition en produisant du contenu d'un côté ou de l'autre. Commenter l'actu, relancer les liens qui nous unissent et qui, en quelques clics, font de toi un blogueur connu et reconnu par ses pairs. Loin de vouloir la gloire, la reconnaissance. Un salut amical.
Ça va paraitre con, mais c'est en lisant ce billet de Melclalex où je ne figure pas malgré un post sur le sujet ce matin, que je me suis rendu compte que depuis un moment je recevais encore moins de liens que je n'en faisais.