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Le jour ou je me suis prise pour audrey hepburn

Publié le 15 juin 2012 par (dé)maquillages @demaquillages
LE JOUR OU JE ME SUIS PRISE POUR AUDREY HEPBURN
Hier soir, j'étais invitée à la (très chic) boutique Courrèges de la (très classe) rue François Premier pour me faire chignoner par l'équipe du (très talentueux) Christophe Nicolas Biot (vous me dites si j'en fais trop dans les superlatifs, hein).
Jusque fin juin, vous pouvez faire de même (et gratuitement !) tous les jeudis soirs. Vous briefez le coiffeur sur le style que vous souhaitez et le type de votre soirée à venir, et hop, en 10, 20 ou 40 minutes selon la complexité de la coiffure, vous n'êtes plus tout à fait la même !
Pour ma part, vous savez, je suis plutôt une fille nature, alors j'aurais opté pour du coiffé-décoiffé, un truc simple avec des cheveux fous, des tresses..., mais le coiffeur m'a proposé un chignon "type Courrèges" et j'ai accepté, pour l'expérience.
Vu que j'ai assez peu de matière (cheveux au-dessus des épaules, fins), il a suggéré d'ajouter une queue de cheval de cheveux naturels, ce que j'ai décliné poliment car comme je n'aurais pas pu la garder (elle coûte 110€ je crois), j'aurais dû me déchignoner à peine chignonée et il eût été dommage (je crois que je vais me replonger dans mon Bescherelle, j'ai des doutes, là).
Le coiffeur a donc eu du fil à retordre, le pauvre, d'autant plus que je m'étais lavé les cheveux le matin-même (pour un chignon, il vaut mieux l'avoir fait la veille pour que ça tienne mieux), et que mon après-shampooing du moment, s'il est top pour démêler, est très difficile à rincer et laisse un film qui rend les cheveux encore plus glissants...
Après avoir dispersé dans ma chevelure 49 épingles (j'ai compté au déchignonage) et la moitié d'un flacon de laque (j'exagère à peine), le coiffeur m'a libérée et, pour la postérité, j'ai adopté une attitude très (pas du tout, ok) blogueuse mode en tentant de faire ma Audrey. (... heureusement que le chignon est là pour sauver un peu l'ensemble, hum)
LE JOUR OU JE ME SUIS PRISE POUR AUDREY HEPBURN(je n'ai pas pu garder le sac, j'aurais dû faire blogueuse mode plutôt que beauté...)
Si vous avez envie de tenter l'expérience vous aussi, le Bar à Chignons de Christophe Nicolas Biot est ouvert tous les jeudis soir jusqu'au 5 juillet de 17h à 20h à la boutique Courrèges, 40 rue François Premier, 75008.
(ah, et si vous ne me croyez pas pour le nombre d'épingles, vous pouvez vous amuser à les recompter ici - sachant que j'en ai perdu 2 dans le siphon du lavabo de l'agence de presse BMRP - voilà, c'est dit, maintenant Cédric tu sais, pardon)
LE JOUR OU JE ME SUIS PRISE POUR AUDREY HEPBURN

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