
Evidemment, le retard des infrastructures hôtelières, notamment haut de gamme, par rapport aux destinations concurrentes n'arrange rien.... Même si du côté de l'IRT, on se félicite du développement de l'hôtellerie de luxe dans l'île.
L'objectif visé par les responsables reste de 600 000 touristes en 2020. l'IRT vise 40% de touristes étrangers d'ici cinq ans, contre 10% actuellement. Autrichiens, Allemands, Anglais, mais aussi Russes, Chinois, sont ainsi espérés. Bon, on peut toujours rêver. Déjà qu'il n'y a pas un chauffeur de taxi pour parler anglais, on peut miser sur un développement du mandarin chez les réceptionnistes d'hôtel. Cela dit, vu les salaires pratiqués dans l'hôtellerie, de luxe ou pas, on comprend que le personnel ne soit pas spécialement motivé pour se mettre aux langues étrangères.
François GILLET