Tu avais coutume de dire que tu avais toujours raison mais là permets moi de te dire que tu as eu tort ! Tort de nous laisser sans ta jovialité, sans ton abnégation pour ton prochain. Ta liberté longtemps tu l'as gardée comme une perle rare. Ta liberté, celle qui t'a aidé à larguer les amarres pour aller n'importe où, pour aller jusqu'au bout des chemins de fortune, pour cueillir en rêvant une rose des vents sur un rayon de lune.
Ta ganache s'est fait la malle, mais ton cœur, on le garde.
On voudrait te dire merci mais ça parait tellement dérisoire ...
Là, ça va coincer dorénavant, tu nous manques petit con.