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20e Rencontres Cinémas d'Amérique Latine de Toulouse

Publié le 20 mars 2008 par Slal
Toulouse, mars 2008
Les Rencontres Cinémas d'Amérique Latine de Toulouse fêtent leurs 20 ans du 28 mars au 6 avril 2008 !
Vingt ans de curiosités cinématographiques, de révélations, de nouveaux talents, de découvertes avec des inédits et avant-premières projetés à la Cinémathèque de Toulouse et dans les cinémas de la ville rose, de sa périphérie et de la région Midi Pyrénées.

Vous pourrez retrouver les chroniques de Lola de Sucre, notre envoyée spéciale, aux 20e Rencontres et consulter dès maintenant le programme détaillé du festival des Rencontres des Cinémas d'Amérique latine
Du Mexique à la Patagonie, les cinématographies du nouveau monde changent et inventent de nouvelles thématiques, des constructions narratives innovantes et une esthétique très contemporaine. Depuis vingt ans, les Rencontres invitent à les découvrir à travers films de fiction, documentaires, courts-métrages, vidéo art, multimédia et formes plus expérimentales mais aussi à revisiter les œuvres du passé en présence d'un grand nombre d'invités réalisateurs, comédiens et professionnels du cinéma.
Parmi les nombreux points forts du festival, découvrez le film culte de l'histoire du cinéma brésilien.

À l'occasion du centenaire de la naissance du réalisateur brésilien Mário Peixoto, les Rencontres projetteront son unique réalisation, le film Limite (Brésil, 1931, 120 min, N&B), dans sa version restaurée avec la participation d'ARTE France.
Limite est le premier film brésilien à avoir été déclaré patrimoine culturel. Pendant presque cinquante ans, il est resté un « mythe impénétrable », un « monstre sacré ». Limite est un ciné-poème, dont l'idée naquit à Paris où se trouvait Mário Peixoto, l'été 1929, inspirée par la photo de couverture d'André Kertesz du n° 74 de la revue "Vu", représentant une femme au regard fixe, entourée des deux bras d'un homme... Le film plonge dans la mémoire visuelle, les fantasmes et angoisses de trois jeunes gens à la dérive sur une barque, au milieu de l'océan. La légende veut que cette œuvre unique ait été admirée par Eisenstein, Poudovkine et Orson Welles.


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