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Fiction (EP.20) Ayrton, un rémanent de supernova

Publié le 01 juillet 2012 par Khymo1 @actumoteurs
Fiction (EP.20) Ayrton, un rémanent de supernova

© Morio / Creative Commons

« On appelle rémanent de supernova la matière éjectée lors de l’explosion d’une étoile en supernova. Il existe deux voies possibles qui aboutissent à la création d’un rémanent :

  • Une étoile massive cessant de générer de l’énergie par l’intermédiaire de la fusion de son cœur, et finissant par s’effondrer sous l’effet de sa propre gravité. On parle de supernova à effondrement de cœur, au centre duquel se trouve un résidu compact (étoile à neutrons ou trou noir). Alors que l’étoile massive fait plus de 8 masses solaires, le résidu compact fait de l’ordre de 1,5 masse solaire.
  • une naine blanche ayant accumulé assez de matière provenant d’une étoile voisine ou entrant en collision avec celle-ci pour atteindre la masse critique qui engendre une explosion thermonucléaire. On parle de supernova thermonucléaire. Dans le cas où il y a accrétion de matière et non collision, l’étoile compagnon peut éventuellement survivre à l’explosion. L’étoile qui explose est par contre totalement détruite, sans laisser de résidu compact derrière elle. » lit on sur wiki.
Comme une étoile massive de la formule reine, le pilote Brésilien n’a pas explosé, au contraire d’un Seb Vettel et d’un Romain Grosjean, qui, eux deux ont cessé de générer de l’énergie en fin de course, enfin, leur alternateur. Les étoiles compagnons de Grosjean et Vettel, le grand Mark, et Iceman pour Lotus ont eux, survécus à l’explosion. Une étoile qui a explosé contre le mur mais qui a du laisser quelques résidus, c’est l’Etoile Hamilton, percuté par l’astéroïde Maldonado. « Une supernova est l’ensemble des phénomènes conséquents à l’explosion d’une étoile, qui s’accompagne d’une augmentation brève mais fantastiquement grande de saluminosité. Vue depuis la Terre, une supernova apparait donc souvent comme une étoile nouvelle1, alors qu’elle correspond en réalité à la disparition d’une étoile. Les supernovae sont des évènements rares à l’échelle humaine : leur taux est estimé à environ une à trois par siècle dans notre Voie lactée. Les télescopes Hubble et Chandra ont photographié le reste de la supernova N49, située à 160 000 années-lumière, dans la galaxie du grand nuage de Magellan, le 1er juin 2010. Il est à noter qu’à notre époque aucune supernova n’a été observée dans notre galaxie, la Voie Lactée, depuis l’invention du télescope. La plus rapprochée observée depuis est SN 1987A, survenue dans une galaxie voisine. Elles ont eu et jouent encore un rôle essentiel dans l’histoire de l’Univers, car c’est lors de son explosion en supernova que l’étoile libère les éléments chimiques qu’elle a synthétisés au cours de son existence — et pendant l’explosion même —, pour être diffusés dans le milieu interstellaire. De plus, l’onde de choc de la supernova favorise la formation de nouvelles étoiles en initiant ou en accélérant la contraction de régions du milieu interstellaire.Le processus initiant une supernova est extrêmement bref : il dure quelques millisecondes. Quant au phénomène de la supernova elle-même, il peut durer plusieurs mois ». La supernova en question reste Alonso, et si le phénomène dure, il pourrait bien être champion.. « Au maximum de luminosité de l’explosion, la magnitude absolue de l’astre peut atteindre -19, ce qui en fait un objet plus lumineux de plusieurs ordres de grandeur que les étoiles les plus brillantes : pendant cette période, la supernova peut « rayonner plus d’énergie » (et donc avoir une puissance plus grande) qu’une, voire plusieurs galaxies entières. C’est la raison pour laquelle une supernova se produisant dans notre propre galaxie, voire une galaxie proche, est souvent visible à l’œil nu, même en plein jour. Plusieurssupernovas historiques ont été décrites à des époques parfois très anciennes ; on interprète aujourd’hui ces apparitions d’« étoiles nouvelles » comme étant des supernovas.

Il existe deux mécanismes en réalité assez distincts qui produisent une supernova : le premier résulte de l’explosion thermonucléaire d’un cadavre d’étoile appelé naine blanche, le second de l’implosion d’une étoile massive qui est encore le siège de réactions nucléaires au moment de l’implosion. Cette implosion est responsable de la dislocation des couches externes de l’étoile. Le premier mécanisme est appelé supernova thermonucléaire, le second supernova à effondrement de cœur. Un troisième mécanisme, encore incertain, mais s’apparentant au second, est susceptible de se produire au sein des étoiles les plus massives. Il est appelé supernova par production de paires. Historiquement, les supernovas étaient classifiées suivant leurs caractéristiques spectroscopiques. Cette classification est peu pertinente d’un point de vue physique. Seules les supernovas dites de type Ia sont thermonucléaires, toutes les autres étant à effondrement de cœur. »

rajoute l’encyclopédique Wikipédia. Effondrement de coeur pour l’Allemand, mais place de second pour Senna sr, derrière un météoritique Fernando Alonso et sa très lourde étoile rouge au coeur Jaune… Thermonucleaire retour de Ayrton, effondrement de coeur pour Vettel.. Qu’en sera t-il à Silverstone? (A suivre)

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