Prends, mon enfant, ta leçon de solfège,
Sois pénétré du désir de savoir.
Quand le chagrin ou l’ennui nous assiège,
Les chants joyeux font renaître à l’espoir.
Les sentiments qui remplissent notre âme
Sont modulés en suaves accents,
Et la prière est la note ou la flamme
Qui monte au ciel comme y monte l’encens.
Gustave NADAUD (1820-1893).
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