Travailler pour revenir aux origines cantaliennes du Birlou, Henri Monier travaille pour que des produits cantaliens puissent être utilisés à la fabrication de la liqueur.
Il se penche maintenant sur la châtaigne à la base du Birlou. « J'ai acheté trois hectares de terrain sur lesquels j'ai planté des châtaigniers. J'aimerais pouvoir utiliser des fruits locaux ».
Des producteurs se sont regroupés en association. « Le but, c'est la création d'un outil de transformation », indique cette inlassable boîte à idées. Le Birlou a quitté le Cantal pour mieux revenir à ses origines.