Political Animals // Saison 1. Episode 5. 16 Hours.
Il s'était passé pas mal de choses la semaine dernière. Il était donc logique que l'on retrouve toutes ces intrigues dans ce nouvel épisode qui va dérouler 16 heures d'évènements. Un épisode sans
TJ c'est difficile. Ce dernier se retrouve à l'hôpital. Il est soigné pour son overdose et sa famille est à ses côtés. La famille de TJ arrive toujours trop tard. En effet, elle n'avait pas voulu
être là pour l'ouverture de son night club alors forcément, elle ne peut être là qu'après le malheur. Il va prendre malgré tout le temps de s'excuser auprès de sa mère et lui confier qu'il ne
voulait pas mettre fin à ses jours. En tout cas, l'histoire de TJ, bien que touchante manquait clairement d'entrain. Et le souci vient de la réalisation. Je ne sais pas qui s'en occupe mais c'est
vraiment des réalisateurs du pauvre. Je ne comprend pas comment Greg Berlanti a pu valider de telles images. C'est laid. Et pourtant, le reste est bon. C'est bien dommage que l'enrobage soit de
piètre qualité. Pendant ce temps, Elaine travaille sur le cas des chinois bloqués dans un sous marin avec le Président Garcetti.
Cette partie de l'épisode permet de plonger dans un cas d'école de la politique. C'est traité assez bien, notamment parce que les dialogues sont intelligibles et surtout intéressants. La relation
entre Elaine et Garcetti est amusante, et Elaine n'a pas sa langue dans sa poche quand elle confie à Garcetti qu'il n'aurait jamais gagner sans le soutien d'Elaine. Ce qui est forcément vrai car
on sait que si seconde saison il y a (ce que j'aurais bien du mal à imaginer), Elaine sera élue présidente des Etats-Unis. C'est une issue logique. Mais nous ne sommes pas là pour épiloguer sur
la saison 2 qui n'existe pas (encore). Les chinois vont parvenir à être sauver et forcément, on aura eu droit au petit Xie Xie, merci. Même si l'on brasse beaucoup (on ne voit pas la situation en
réel, on ne fait que la vivre depuis les bureaux de D.C), finalement ce n'est pas une mauvaise idée. Cela laisse l'opportunité au téléspectateur d'imaginer un peu tout ce qui peut bien se
passer.
Note : 5/10. En bref, un épisode parfois un peu lourd et surtout mal réalisé (encore une fois). La solidité des dialogues est heureusement là pour sauver la mise à la série.