Hell On Wheels // Saison 2. Episode 2. Durant, Nebraska.
Après un season première correct mais pas transcendant, Hell On Wheels poursuit son bout de chemin sur la même lancée. D'un côté, cet épisode ressemblait énormément à la suite directe du premier
épisode de la saison. Pas un mauvais choix en soit. Puisque cela permet notamment de régler cette histoire de prostituée assassinée. C'est Elam qui va retrouver le retrouver et le tuer. C'était
le dernier homme qui avait été vu en la charmante compagnie de cette jeune femme. Il était donc logique qu'elle soit assassinée par lui (enfin, au premier abord mais cela parait tellement facile
que je n'y crois pas). Du coup, l'assassinat de cet homme était assez brutal mais j'en n'attendais pas moins ni de la part de Hell On Wheels, ni de la part de Elam. Ce dernier commence à
s'affirmer dans cette seconde saison et il est temps de lui donner sa place. "Durant, Nebraska" se veut donc un épisode de transition vers le reste de la saison après une introduction correcte et
pas spécialement originale.
Finalement, Hell On Wheels reste sur ce qu'elle faisait durant la première saison. Du classique, bien qu'il y avait un brin de folie (comme toujours ici). Cela permet de donner une ambiance un
peu fun aux épisodes. Ce qui n'est pas de refus. Evidemment, Hell On Wheels n'est pas pavée uniquement que de défauts. Il y a aussi de bonnes choses. Comment Cullen. On laissait le personnage en
prison dans l'épisode précédent mais dans celui ci, on va se retrouver à aller à Hell On Wheels avec Durant. Les retrouvailles entre Cullen et Durant étaient d'une logique implacable. Comment ces
deux personnages ne pouvaient t-ils pas se revoir ? En tout cas, je ne m'attendais pas à ce que Cullen revienne aussi tôt à Hell On Wheels. J'aurais pensé qu'il allait rester un peu plus de temps
en prison, ou en tout cas dans les alentours. Cela aurait pu être une excellente idée au fond. Je ne disais pas non. Durant se retrouve encore une fois à gérer de nombreux problèmes en même
temps.
Note : 5.5/10. En bref, pas vraiment surprenant.