Puberty Blues // Saison 1. Episodes 1 et 2. One / Two.
Il n'y a pas que les anglais et les américains sur cette Terre, il y a aussi les australiens. Channel 10, une chaine australienne a décidée d'adapter le roman Puberty Blues (de Gabrielle Carey et
Kathy Lette) datant de 1979 et déjà adapté au cinéma sous le même nom en 1981. Je ne connaissais pas ce livre, mais une adaptation est toujours sujette à pas mal de mésaventures. Notamment parce
qu'il faut être fidèle à un univers et savoir le mettre en scène à l'écran. Globalement, cette année les séries australiennes ne m'auront pas vraiment séduites, sauf la mini-série The Slap,
adaptée elle aussi d'un roman et Conspiracy 365… adapté d'une série de romans. Vous l'aurez compris, ce qu'il y a de mieux dans ce pays cette année provient de romans. Du coup, j'étais curieux de
découvrir Puberty Blues. Et puis le sujet en lui même m'intéressait lui aussi. Cela avait l'air d'être moderne et léger. Parfait pour l'été. Tout simplement.
Les mésaventures de deux adolescents surfeurs et de deux jeunes filles dans la banlieue sud de Sydney.

Ce qu'il y a de bien c'est que l'on sent l'alchimie entre les deux amies. Cela permet de mieux comprendre les deux personnages et surtout les relations qui les envies qui les anime. Cette envie de sortir avec des garçons est logique pour leur âge. Et je dois avouer que j'ai déjà hâte de voir les batifoler. Et puis, il y a pas mal de surfeurs dans les parages. Ce qui permet aussi de rester fidèle à la culture de l'époque mais aussi du pays. Car le surf est assez important en Australie. Dans la relation entre Sue et Debby, j'aime aussi plutôt bien toutes ces petites histoires, et l'évolution de leur statut au lycée. Il fallait que cela évolue de toute façon. Nous allons aussi faire la rencontre des parents des jeunes filles. D'un côté nous avons Judy et Martin qui sont assez coincés pour être direct, et de l'autre Pam et Roger qui sont bien plus ouverts. Debby semble presque dégoûtée de voir ses parents avec une telle envie de sexe alors qu'elle n'a pas de garçon avec qui sortir.

Note : 6/10. En bref, deux petits épisodes légers et simples, mais avec un joli teint et une envie de raconter de belles choses.